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Titre :Après la rupture
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Lemercier, Eugène
Interprète(s) :Mercadier, Émile
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
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Support d'enregistrement :Disque
Format :27 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Odeon International talking machine Co.m.b.H.
Numéro de catalogue :33330
Numéro de matrice :33330-3
Date de l'enregistrement :1904
Instruments :piano acc.
État :Exc+
Vitesse (tours/minute) :93,1
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :13-10-2014
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Pochette en patchwork. Combiner les deux prises ?
Texte du contenu :Après la rupture

Création : Mercadier (1896) - reprises : Mlle Marsa, Brévil, Maréchal, drathès, Fred Gouin

Paroles et musique : Eugène Lemercier - Éditeur : Puigellier te Bassereau


Mercadier :

Hé quoi, Ninon, tu viens à ma rencontre ?
Tu veux parler à ton ancien amant
Et ton minois très décidé se montre
Illuminé d'un sourire charmant
Un an déjà depuis notre rupture
S'est écoulé. Nous n'en sommes pas morts
Mais, soyons francs, cette étrange aventure
Nous a laissé le cœur plein de remords

{Refrain :}
Pourquoi briser deux cœurs à la légère
Si tôt ou tard on doit le regretter ?
{X2 :}
J'ai conservé cette illusion chère
Que nous n'aurions jamais dû nous quitter

Toujours jolie et toujours captivante
Tu viens à moi, je me sens défaillir
Tu m'apparais comme une fleur vivante
Et mon amour m'invite à te cueillir
Suivant tes pas, je te prends par la taille
En ton logis bientôt je suis rendu
Là, dans tes bras, sans la moindre bataille
J'ai retrouvé mon paradis perdu

Pourquoi briser deux cœurs à la légère
Si tôt ou tard on doit le regretter ?
{x2 :}
Aimons-nous bien, aimons-nous donc, ma chère [Brévil : J'ai conservé cette illusion chère]
Car nous n'aurions jamais dû nous quitter [Brévil : Que nous n'aurions jamais dû nous quitter]



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