Paroles : Jost, Vylé - Musique : Édouard Jouve - Éditeur : E. Jouve - Paris (1905)
Jean Péheu :
Il y a des gens qui se font tout l' temps d' la bile
C'est malsain, ils ne deviennent jamais vieux
Pour ma part, moi je suis bien plus habile
J'ai l' secret d'être toujours très heureux
Quand je mange, je soigne d'abord mon p'tit ventre
J' mange du bon, dégustant mes aliments
Je m' balade en voiture, je sors, je rentre
À part ça, tous les autres événements...
{Refrain :}
Moi, j' m'en fous, j' m'en fous pas mal
Ça m'est bien égal
Ça n' me fait pas d' mal
Moi, j' m'en fous, j' m'en fous pas mal
Ça m'est bien égal
Et ça n' me fait pas d' mal
Moi, j' m'en fous, j' m'en fous pas mal
Ça m'est bien égal
C'est pas moi qui m' casserai jamais la tête
Pour payer le tailleur et l' proprio
J' garde l'argent, ce n'est déjà pas si bête
J' lui destine un emploi plus rigolo
Dernièrement, mon créancier l' plus tenace
M'annonça qu'il allait me faire saisir
Moi, j' souris en entendant sa menace
Et j' réponds : Mon vieux, si ça t' fait plaisir...
{au Refrain}
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Charlus :
Y a des gens qui se font tout l' temps d' la bile
C'est malsain, ils ne deviennent jamais vieux
Pour ma part, moi je suis bien plus habile
J'ai l' secret d'être toujours très heureux
Quand je mange, je soigne d'abord mon p'tit ventre
J' mange du bon, déguste mes aliments
Je m' balade en voiture, je sors, je rentre
À part ça, tous les autres événements...
{Refrain :}
Moi, j' m'en fous, j' m'en fous pas mal
Ça m'est bien égal
Ça n' me fait pas d' mal
Moi, j' m'en fous, j' m'en fous pas mal
Ça m'est bien égal
Et ça n' me fait pas d' mal
Moi, j' m'en fous, j' m'en fous pas mal
Ça m'est bien égal
C'est pas moi qui m' casserai jamais la tête
Pour payer le tailleur et l' proprio
J' garde l'argent, ce n'est déjà pas si bête
J' lui destine un emploi plus rigolo
Dernièrement, mon créancier le plus t'nace
M'annonça qu'il allait me faire saisir
Moi, j' souris en entendant sa menace
Et j' réponds : Mon vieux, si ça t' fait plaisir...
{au Refrain}
Ma voisine est une femme vraiment féconde
Car elle déjà quatre petits garçons
L'autre soir, très émue et pudibonde
À son homme elle dit ces mots folichons :
J' voudrais bien qu' nous ayons une petite fille
Une fillette, ça manque à notre collection
C't exemplaire, ça complét'ra la famille
Le mari riposta sans émotion :
{au Refrain}