Recherche tout champRecherche avancéeNouvelle recherche Page d'accueil  

Tout champ :
   

 

Titre :Quinze juillet 1910, toast chez mon beau frère Émile Weerts
Interprète(s) :Enregistrement amateur - famille Weerts : Auguste, son épouse, son beau frère Émile, sa famille
Fichier audio :
Photo(s) :
PhotoPhoto
PhotoPhoto
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Croix (Nord), France
Marque de fabrique, label :[Marque ou fabricant non identifié]
Instruments :Diction
Couleur de la pâte :noir moulé
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :187
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe Edison sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :11-02-2011
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Déclamation : toast en famille. Cylindre amateur daté.
Texte du contenu :[Auguste prend la parole :]
Quinze juillet 1910, toast chez mon beau frère Émile Weert.
Enfin, le quatorze juillet m'a permis de réaliser le projet de vous faire notre visite promise. Laissez-moi vous dire tout le plaisir que nous a causé votre si fraternel accueil, et aussi la joie que nous avons éprouvée aux accents de la fanfare que vous aviez amenée à la gare. Merci donc de tout notre coeur, au nom de votre soeur et au mien, et je termine en levant mon verre à la santé de tous, et à votre bonheur.

[9 secondes de silence, puis l’épouse d’Auguste prend la parole :]
A mon tour je veux ajouter quelques mots à ceux que vient de dire Auguste. Si j'ai, et eu comme lui les mêmes joies de votre accueil, mon coeur a doublement battu en revoyant mon, en même temps que la famille, mon cher pays du Nord. Et ma joie serait complète si tout ce bonheur n'était un peu assombri par l'absence de ceux de la famille qui sont restés à Paris. J'espère un jour que tous nous pourrons nous réunir ici. Et en attendant je lève mon verre à votre prospérité.

[la famille fait un ban pour les orateurs :]
Bravo, bravo, bravo, [applaudissements], encore, un deux trois, un deux trois quatre cinq, un deux trois quatre cinq, un deux trois, un deux trois quatre cinq, un deux trois quatre cinq, un deux trois.

[5 secondes de silence, puis Émile prend la parole :]
À mon tour, laissez moi vous dire que notre accueil est bien naturel. N’est-ce pas une joie de revoir, après une longue séparation, un beau-frère, une sœur qui habitent loin de vous ? Vous parlez de la fanfare : pardonnez-lui son retard avant d’arriver à la gare de Croix. La différence d’heure en est cause. D’ailleurs le trio enlevant des marches triomphales qu’elle a exécutés sont une preuve du plaisir qu’elle avait de vous recevoir. Je vous rends vos toasts et bois à la fraternité des familles.



Permalien : http://www.phonobase.org/6781.html

  Recherche tout champRecherche avancéeNouvelle recherche Page d'accueil