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| Titre : | C'était un rêve |
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Maquis, Gaston ; Drucker, Henri |
| Interprète(s) : | Maréchal, André |
| Genre : | Café-concert |
| Fichier audio : | |
| Support d'enregistrement : | Cylindre |
| Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
| Marque de fabrique, label : | Pathé |
| Numéro de catalogue : | 3865 |
| Numéro de matrice : | 2731 |
| Date de l'enregistrement : | 1902-1904 |
| Instruments : | piano acc. |
| Couleur de la pâte : | noir moulé |
| État : | Exc, pleure |
| Vitesse (tours/minute) : | 160 |
| Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
| Date du transfert : | 19-03-2012 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
| Texte du contenu : | C'était un rêve
Chanté par Mercadier, Aigon Albin, Maréchal, Hallaert Paroles : Henri Drucker - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : Chanson Moderne (1892) Figure-toi, Suzon, ma blonde Qui te plais à me tourmenter Qu'un rêve le plus beau du monde Hier est venu me visiter Je te voyais dans ma chambrette L'amour t'amenait près de moi Et tu baissais un peu la tête Pour me cacher ton doux émoi {Refrain :} Quand mon regard vers toi se lève Je vois bien à ton air moqueur Que tant d'ivresse et de bonheur C'était un rêve Quand mon regard vers toi se lève Je vois bien que c'était un rêve Tes lèvres pour payer ma peine Se tendaient en un doux baiser Et le parfum de ton haleine Vite acheva de me griser Hélas ! tout cela n'est qu'un leurre Ton cœur m'est fermé pour toujours Et tu ne vois pas que je pleure Et mes vingt ans et nos amours ! {au Refrain} |
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