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Titre : | Werther ; j'aurais sur ma poitrine |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Massenet, Jules ; Blau, Édouard ; Milliet, Paul ; Hartmann, Georges |
Interprète(s) : | Muratore, Lucien |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 128 |
Numéro de catalogue : | 4917 |
Numéro de matrice : | 40524-R |
Date de l'enregistrement : | 1909-05-xx ? |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 89,3 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 19-11-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Werther ; j'aurais sur ma poitrine
Création : Guillaume Ibos (1893 à l'Opéra-Comique) - Paroles : Édouard Blau, Paul Milliet, Georges Hartmann - Musique : Jules Massenet Un autre est son époux ! {x2} Dieu de Bonté Si tu m'avais permis de marcher Dans la vie avec cet ange à mon côté Mon existence entière N'aurait jamais été qu'une ardente prière ! Et maintenant, parfois, j'ai peur de blasphémer ! C'est moi, moi qu'elle pouvait aimer ! J'aurais sur ma poitrine Pressé la plus divine La plus belle créature que Dieu même ait su former ! C'est moi, c'est moi qu'elle pouvait aimer ! Lorsque s'ouvrait le ciel qui s'illumine Soudain je l'ai vu se fermer ! Je l'ai vu se fermer ! C'est moi, c'est moi qu'elle pouvait aimer ! Ah ! J'aurais sur ma poitrine Pressé la plus divine La plus belle créature que Dieu même ait su former ! C'est moi, c'est moi qu'elle pouvait aimer ! C'est moi qu'elle pouvait aimer ! Tout mon corps en frisonne Et tout mon être, tout mon être en pleure ! |
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