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Titre : | C'est une maladie |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Gey, Joseph ; Doubis, Pierre ; Amelet |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2775 |
Numéro de catalogue : | 1356 |
Numéro de matrice : | 98506-RA |
Date de l'enregistrement : | 1913-09-xx |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 88 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 29-03-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | C'est une maladie
Paroles : Amelet - Musique : Joseph Gey et Pierre Doubis - Éditeur : Amelet, Paris [1913] Dans le monde entier, en parlant de l'amour On répète toujours Que c'est ici-bas le plus grand des bonheurs Qu'il n'y a rien d' meilleur Que c'est une joie sans mélange Qui nous transporte jusqu'aux cieux Où l'on croit vivre avec les anges Enfin qu' c'est délicieux C' n'est pas ça du tout On nous monte le cou L'amour, messieurs, voyez-vous... {Refrain :} C'est une maladie Qui nous rend abrutis Nous donne la danse de Saint-Guy Qui met l' cœur en folie Et dans l' système nerveux Des désirs malicieux Et ça s'attrape Rien qu'en voyant passer Un petit nez retroussé Que l'on rattrape Et ça y est ! sans traîner On est contaminé Le jeu, paraît-il, de tous les agréments Est le plus palpitant Mais malheureus'ment, quand on s'y livre trop On en devient dingo Vers les champs d' course on s'achemine Avec l'espoir de s'enrichir Car chacun a sa p'tite combine Qu'est forcée d' réussir Sur un canasson Avec son pognon On joue jusqu'à son cal'çon {Refrain :} C'est une maladie Qui rend le teint blafard Qui met le feu quelque part Qui nous donne l'envie D' mordre l' derrière des ch'vaux Pour qu'ils partent au galop La bourse pleine On arrive en auto Parc' qu'on a un bon tuyau Mais, quelle déveine ! Le tuyau a crevé Il faut rev'nir à pied On dit que l'argent ne fait pas le bonheur C'est une grave erreur Pour être fixé, regardez ici-bas Tous ceux qui n'en ont pas Ils font une triste figure Ils ont du vague dans les yeux À fond ils se serrent la ceinture Et comme des miteux Ils sont redoutés Chassés, repoussés Ne soyez jamais fauchés {Refrain :} C'est une maladie Qui fait plisser la peau La fait coller sur les os Qui donne la pépie Et fait fuir subit'ment Les amis, les parents Tout l' monde vous plaque Vos souliers, vos vêt'ments N' tardent pas d'en faire autant Tout s' fend, tout craque Tout s'en va p'tit à p'tit Excepté l'appétit |
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