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Titre : | Amants |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Steck, Jules-Lambet ; Paillisson, Alcide |
Interprète(s) : | Mercadier, Émile |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | CIP - Compagnie Internationale Phonique |
Numéro de catalogue : | 0121 |
Numéro de matrice : | 14 |
Date de l'enregistrement : | 1908 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 77 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, SME-Clément, pointe 2,0ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6,5kHz : Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 03-07-2017 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Amants
Paroles : Alcide Paillisson - Musique : Jules-Lambert Steck - Éditeur : Mercadier, Paris [1908] Lorsqu'entre amants l'on se sépare Et que le cœur se désempare C'est que notre raison s'égare Pour faire place au chagrin L'âme est en deuil, on crie, on pleure Puis on maudit son destin Alors l'amour qui n'est qu'un leurre Prend un autre chemin {Refrain :} Si l'on pouvait aimer toujours Aimer à la folie Ô chers amants, que de beaux jours Vous auriez dans la vie ! Si l'on pouvait aimer toujours Sans que le cœur oublie Heureux de se chérir On ne voudrait jamais mourir Le plus beau de notre existence C'est de s'adorer sans souffrance De chanter la belle romance À deux, les yeux dans les yeux C'est le plaisir même infidèle Avant l'heure des adieux Car l'amour ne bat que d'une aile Hélas ! quand on est vieux {au Refrain} |
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