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Titre : | En 1820, chanson 1830 |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Dédé, Eugène ; Briollet, Paul ; Gerny, Ernest |
Interprète(s) : | Dranem |
Genre : | Pièce pour piston |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé - APGA |
Numéro de catalogue : | P3102-1 |
Numéro de matrice : | 62326RA |
Instruments : | Piston et orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 87,6 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 21-10-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. L'irrésistible fuite du temps. Le temps défié : voir aussi 'Deux siècles d'amour'. |
Texte du contenu : | En 1820
Paroles : Paul Briollet, Ernest Gerny - Musique : Eugène Dédé - Éditeur : J. Rueff - Paris (1905) sur Odéon (troisième couplet sur APGA 1544) : En l’an dix-huit cent vingt, un jeune homme de bon ton Se dit : Je vais apprendre à jouer du piston [APGA : Se dit : Je veux apprendre à jouer du piston] Il chercha tout d’abord un professeur émérite Qui, l' voyant plein d'ardeur, l’fit travailler tout d' suite [APGA : Qui, voyant son ardeur, l'fit travailler tout d'suite] L’jeune homme, dans l’piston, souffla comme un bœuf D’dix-huit cent vingt à dix-huit cent vingt-neuf ! En l’an dix-huit cent trente, il était déjà fort Il jouait très bien la gamme en ut, en la major Voyant ça, l’professeur, un véritable artiste Dit : Nous allons passer à d’autres exercices L’jeune homme, dans l’piston, resouffla comme un bœuf De dix-huit cent trente à dix-huit cent trente-neuf ! En dix-huit cent quarante, il savait jouer un air C’était, si je n’me trompe, la polka des pois verts Le professeur se dit : C’t élève-là sera-t-il ma gloire ? Et d’suite il le fait rentrer dedans l’Observatoire L’jeune homme, dans l’piston, resouffla comme un bœuf De quarante et un jusqu’à quarante-neuf ! En dix-huit cent cinquante, il devint amoureux Il avait envie d’faire des p’tits duos à deux Et l’été comme l’hiver, il jouait à sa conquête Des nocturnes pour Chopin, toute la nuit sous sa f’nêtre [APGA : Des nocturnes pour piston, toute la nuit sous sa f’nêtre] L’jeune homme, dans l’piston, resouffla comme un bœuf De cinquante et un jusqu’à cinquante-neuf ! En dix-huit cent soixante, par une nuit sans clarté L’jeune homme se mit son embouchure de l’autre côté Il en mourut car elle n’put plus jamais sortir Et lança un contre-ut dans un dernier soupir(e) Et sa fiancée le pleura comme un veuf De soixante et un jusqu’à soixante-neuf ! En l’an quatre-vingt-dix [APGA : En l'an dix-neuf cent vingt] En l’an deux mille [APGA : En l'an dix-neuf cent, deux mille] En l'an trois mille, ah ! la barbe ! [APGA : Oh ! la barbe ! oh !] |
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