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Title :	Le sixième étage, romance
Composers and/or lyricists :	Novelli ; Savoisy
Performers :	Mercadier, Émile
Content type :	Café-concert
Audio file :
Images :
Recording medium :	Cylindre
Format :	Standard (enregistrement acoustique)
Recording location :	Paris, France
Manufacturer, label :	Pathé
Catalogue number :	1727
Matrix number :	10951P
Instruments :	piano acc.
Color of the material :	noir moulé
Condition :	Tbon
Speed (rpm) :	160
Tools used for data transfer :	Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton, Cedar X declick, decrackle
Transfer date :	2009-12-28
Comments :	Texte du contenu ci-dessous.
Text or lyrics :	Le sixième étage Mercadier sur Pathé : Pour nous aimer, il nous faudrait Logiquement une chaumière J’ai cherché partout, il paraît Qu’on vient d’abattre la dernière Pour obéir à Béranger Nous logeons dans une soupente On ne vient pas nous déranger Et c’est là que Lisette chante {Refrain :} Nous habitons là-haut, là-haut Pas au premier, mais au sixième Il y fait froid, il y fait chaud Mais en toutes saisons l'on s’aime Si près du ciel on vit heureux Informez-vous : Chaque ménage Est un ménage d’amoureux L’amour loge au sixième étage Il est impossible de voir Dans notre nid, ce qui s’y passe Mais nous plongeons, sans le vouloir Dans les appartements d’en face Nous pénétrons bien des secrets Nous pourrions dire bien des choses Mais nous savons être discrets Lorsqu'il s’agit de péchés roses {au Refrain} ------------------------ Maréchal : Pour nous aimer, il nous faudrait Logiquement une chaumière J’ai cherché partout, il paraît Qu’on vient d’abattre la dernière Pour obéir à Béranger Nous logeons dans une soupente On ne vient pas nous déranger Et c’est là que Lisette chante {Refrain :} Nous habitons là-haut, là-haut Pas au premier, mais au sixième Il y fait froid, il y fait chaud Mais en toutes saisons on s’aime Si près du ciel on vit heureux Informez-vous : Chaque ménage Est un ménage d’amoureux L’amour loge au sixième étage Nous avons un joyeux réveil Les moineaux et les hirondelles Au premier rayon du soleil Viennent s’ébattre à tire d’ailes Et comme les bois sont très loin Et qu’ils dédaignent les mystères Ils s’aiment dans notre jardin : Deux pots de roses primevères {au Refrain}