Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil  

   
Titre :
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :
Interprète(s) :
Genre :
Année d'enregistrement :
Instruments :
Marque de fabrique, label :
Format :
   
Retour au tableau des résultats

194 résultats trouvés

Précédent 1 21 51 101 151 194 Suite droite

 
Titre :Les Maîtres chanteurs de Nuremberg ; l'aube vermeille
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Wagner, Richard
Interprète(s) :Vaguet, Albert
Genre :Opéra
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Inter (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de catalogue :3853
Numéro de matrice :18404P
Couleur de la pâte :noir moulé
État :Exc+
Vitesse (tours/minute) :160
Matériel employé au transfert :Archéophone
Date du transfert :22-12-2002
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Les Maîtres chanteurs de Nuremberg ; l'aube vermeille

Création française : Émile Cossira au Grand Théâtre de Lyon le 30 décembre 1896 - paroles françaises : Alfred Ernst - musique : Richard Wagner - Éditeur : Schott, E. Fromont, Paris


L'aube vermeille brillait dans les cieux
Et des senteurs montaient des fleurs
Dans une ivresse de jeunesse
Un frais jardin ravit mes yeux
Là, sous un arbre merveilleux
Où l'or des fruits étincelle
Je vis mon rêve bienheureux
L'amour que l'âme appelle
Trésor promis jadis
Dans sa beauté l'Eve du paradis

Jour bienheureux
Éclos du rêve du chanteur
Ce que j'ai vu, ce paradis
Dans une aurore de splendeur
Brille à mes yeux
Vers lui l'onde m'a guidé, je l'ai conquis
La vierge même
Que seule j'aime
La femme aux tresses d'or
La muse à l’œil divin
Sublime et saint trésor
Mon chant l'obtient enfin
Au clair soleil de gloire
Au jour de ma victoire
Parnasse et paradis !


[tiré de la version française d'Alfred Ernst,
Paris, Londres et Mayence, B. Schott, 1897]

- - -

[Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg - Die Meistersinger von Nürnberg: Acte III Scène 5 - VIII.]


„Morgendlich leuchtend im rosigen Schein,
von Blüt’ und Duft
geschwellt die Luft,
voll aller Wonnen,
nie ersonnen,
ein Garten lud mich ein,

dort unter einem Wunderbaum,
von Früchten reich behangen,
zu schau’n im sel’gen Liebestraum,
was höchstem Lustverlangen
Erfüllung kühn verhieß –
das schönste Weib,
Eva im Paradies.“ –


Aucun autre transfert audio du même document, aucune face associée

Permalien : http://www.phonobase.org/2411.html

  Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil