Advanced searchSimple searchStart new search Home page  

   
Title :
Composers and/or lyricists :
Performers :
Content type :
Recording year :
Instruments :
Manufacturer, label :
Format :
   
Back to search results page

4296 results found

Précédent 1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1021 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4296 Suite droite

 
Title :Furibard et Lecousin, scène comique militaire
Composers and/or lyricists :Dufleuve [Edmond Bouchaud]
Performers :Lack, Paul [Léopold Postieau] ; Vallez
Content type :Café-concert : comique troupier
Audio file :
Images :Photo
Recording medium :Disque
Format :25 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Recording location :Paris, France
Manufacturer, label :Zonophone international Company
Catalogue number :x81182
Matrix number :5964h
Recording date :1908
Speed (rpm) :75,6
Tools used for data transfer :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Transfer date :2011-05-26
Comments :Texte du contenu ci-dessous.
Text or lyrics :Furibard et Lecousin

Créateur = ? - interprété par Montel et Croidel (1908), Paul Lack et Vallez (1908)

Paroles : Edmond Bouchaud dit Dufleuve - Éditeur : Marcel Labbé, Paris (1908)


- Mille bon sang d' tonnerre de bois, j'ai dit tout à l'heure : Dans deux minutes, rassemblement ! Allons, comment se fait-il que vous soyez seul au rassemblement ?
- Parce que je ne suis pas avec les autres.
- Pourquoi n'êtes-vous pas avec les autres ?
- Parce que les autres ils sont pas avec moi.
- Pourquoi sont-ils pas avec vous ?
- Parce que vous m'avez appelé.
- Moi, j' vous ai app'lé ?
- Mais vous avez dit : Rassemblement
- Eh ben, c'est vous, l' rassemblement
- Mais non, sergent, moi, je suis Lecousin.
- Le cousin de qui ?
- De ma mère
- Comment ça ? votre mère est votre cousin ?
- Ah ! non, sergent.
- Alors, si elle est pas votre cousin, elle est votre cousine.
- Mais non, ma mère, c'est la femme de mon père.
- Et votre père ?
- Mon père, c'est le mari de ma mère.
- Et vous ?
- Moi, je suis le fils de mon père et de ma mère.
- Alors vous n'êtes pas le cousin.
- Mais si, sergent.
- Pétard de bon sang, voyons, le cousin de qui, le cousin d' quoi ?
- Lecousin, de mon nom de famille.
- Quelle famille ?
- De la famille de mes parents.
- Mais bon sang ! expliquez-vous, voyons !
- Oui, sergent. Mon père il s'appelle Lecousin, ma mère il s'appelle Lecousin, tous mes parents s'appellent Lecousin et alors, moi, j' m'appelle la même chose.
- Comment, comment, vous vous appelez la même chose ?
- Bien sûr.
- Quoi, bien sûr ?
- Bien sûr que je m'appelle la même chose que mes parents puisque nous sommes de la même famille.
- Oh ! en voilà assez avec votre famille de moustiques, hein !
- Ah ! pas de moustique, de Cousin.
- Allons, allons, allons, silence dans les rangs, j' vas faire l'appel.
- Lamouillette
- Aux z'halles.
- Quoi, aux z'halles ?
- Oui, il est parti à la viande aux z'halles avec Bidoche.
- Landouillard
- Prérésent !
- Eh ben, alors, pourquoi riez-vous, dites donc, hein ? pourquoi riez-vous, le cousin ?
- Ben, j' vas vous dire, figurez-vous que Landouillard il est parti, il est parti à son pays pour vingt-quatre heures et il a ach'té une andouille qu'il a portée à sa connaissance. Alors, moi, je lui ai dit : Dis donc, l'andouille et toi, ça va faire deux andouilles.
- Ah ! allons, silence, hein ! Où est Latruffe ?
- Aux patates
- Dupoireau.
- En sentinelle.
- Hildéfonse.
- Il défonce le jardin de la colonelle.
- Thomas.
- Hé, hé, hé, hé, au goguenot.
- Dites donc, dites donc, on ne dit pas Au goguenot, on dit Au cabinet, hein !
- Oh ! ça n'y fait rien, ça, ça ne change rien à son odeur.
- Pas d' réflexion, je constate que tous les hommes sont occupés et que vous n' fichez rien.
- Je vous aide.
- Vous m'aidez à quoi ?
- Eh ben, à rien fiche puisque vous fichez rien.
- Ah ! je n' fiche rien ? Eh bien, j' vous fiche quatre jours. Si dans deux minutes vous êtes encore là, je vous r'fiche quatre crans, moi, vous allez voir !
- Ah ! ah ! ah !… Ah ! il m'a foutu quatre jours mais ça m'est égal, que je lui en ai bouché une surface tout de même ! mais ça m'est égal, je suis de la classe
C'est la classe, la classe, la classe
C'est la classe qu'il nous faut, oh oh oh oh !


Display the other audio transfer of the document or its flip side/reverse side

Permalink : http://www.phonobase.org/5323.html

  Advanced searchSimple searchStart new search Home page