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| Title : | Un soir à Barcelone | ||||||||||
| Composers and/or lyricists : | Soler, Raoul ; Devils, Blue | ||||||||||
| Performers : | Marcelly [Marcel-Jules Turmel] | ||||||||||
| Audio file : | |||||||||||
| Images : |
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| Recording medium : | Disque | ||||||||||
| Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) | ||||||||||
| Recording location : | Paris, France | ||||||||||
| Manufacturer, label : | Pathé | ||||||||||
| Double-side number : | 2591 | ||||||||||
| Catalogue number : | 207 | ||||||||||
| Matrix number : | 75407-RA | ||||||||||
| Additional informations written on medium : | 20-8-12 | ||||||||||
| Recording date : | 1911-10-xx | ||||||||||
| Instruments : | orchestre acc. | ||||||||||
| Condition : | Exc++ | ||||||||||
| Speed (rpm) : | 90,8 | ||||||||||
| Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4k, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||||||||||
| Transfer date : | 2012-10-15 | ||||||||||
| Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Parmi un ensemble de disques expédiés vers 1910 dans le cadre d'un abonnement | ||||||||||
| Text or lyrics : | Un soir à Barcelone
Création : Bérard (1907) - reprises : Diaz, Albert Cambardi, Suzanne Chevalier, Margis, Marcelly Paroles : Blue Devils - Musique : Raoul Soler - Éditeur : Lacroix - Paris (1908) La corrida vient de finir à Barcelone Le soir descend Le torero sous ses habits que l'or galonne Est encore plein de sang Le cœur battant, les nerfs tendus par la victoire Dans sa loge en entrant Pour couronner sa gloire Un billet doux l’attend {Refrain :} À toi les plus belles femmes du monde À toi les plus ardents désirs À toi tout ce qui gazouille ou gronde Dans les cœurs brûlés de plaisir À toi le baiser profond qui savoure La force et la virilité ! Va toucher le prix de ta bravoure Et régner sur la beauté Une heure a fui. D'un doux bonheur, son cœur palpite Mais qui va là ? C’est mon époux, tout est perdu ! sauve-toi vite ! Il est debout déjà Du haut balcon il s’est jeté sans nulle crainte Sur le sol en râlant Il s'est traîné sans plainte Et songe en expirant : {Refrain :} Adieu, les plus belles femmes du monde Adieu, les plus ardents désirs Adieu, tout ce qui gazouille ou gronde Dans les cœurs brûlés de plaisir Adieu, le baiser profond qui savoure La force et la virilité ! J’ai touché le prix de ma bravoure Et je meurs pour la beauté |
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