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Titre :Lilas blanc, idylle
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Botrel, Théodore
Interprète(s) :Maréchal, André
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Edison
Numéro de catalogue :17897
Date de l'enregistrement :1907
État :Exc
Vitesse (tours/minute) :160
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton
Date du transfert :20-11-2009
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Les éditions tardives de cette chanson mentionnent "idylle parisienne"
Texte du contenu :Lilas blanc

Paroles et musique : Théodore Botrel - Éditeur : Ondet/Fortin

Création : Mayol (1904 à la Scala) - reprises : Théodore Botrel, Louis Viannec, Maréchal, Marjal, Odette Barancey, Berthe Sylva, Priolet, Jean Lumière, Aimé Doniat, André Claveau, Marie-Paule Belle, Jack Lantier


Mayol sur Parlophone :

Elle naquit par un dimanche
Du plus joli des mois de mai
Quand le printemps à chaque branche
Suspend un bouquet parfumé
En la voyant, toute petite [variante Zonophone : En l'admirant, toute petite]
Si frêle en son berceau tremblant
Sa mère l'appela bien vite :
Lilas-Blanc
Mon petit brin de lilas blanc !

Elle poussa, douce fleurette
Dans le fond d'un pauvre faubourg
Et dans une triste chambrette
Sans soleil et presque sans jour
En la voyant, toujours pâlotte
Avec son sourire dolent
Chacun surnommait la petiote :
Lilas-Blanc
Petit bouquet de lilas blanc !

Et quand elle eut ses douze années
Lumineuse ainsi qu'un rayon
Elle fit, comme ses aînées
Sa première communion
Quand vers l'autel, d'un air modeste
Elle s'avança d'un pas lent
On aurait cru voir un céleste
Lilas blanc
Un vrai bouquet de lilas blanc

Et puis ce fut l'apprentissage
Au cours duquel un beau garçon
Remarqué souvent au passage
Lui fit la cour une saison
Puis, un beau soir, lui dit : Je t’aime !
Ajoutant plus d'un mot troublant
L'appelant : Ma mignonne… et même
Lilas-Blanc
Mon brin joli de lilas blanc !

Hélas ! bientôt l'infortunée
Vit la fin de son beau roman
Car elle fut abandonnée
Par son lâche et volage amant !…
Cacha si bien sa peine affreuse
Tout au fond de son cœur sanglant
Qu'elle en mourut, la malheureuse
Lilas-Blanc
À l'heure où meurt le lilas blanc

Mais le printemps fit un prodige
Pour l'enfant qui mourut d'amour
Sur sa tombe on vit une tige
De lilas fleurir en un jour
Et son tombeau perdu dans l'herbe
Est depuis lors, une fois l'an
Tout embaumé par un superbe
Lilas blanc
Monté du cœur de Lilas-Blanc !…


------------------

Maréchal :

Elle naquit par un dimanche
Du plus joli des mois de mai
Quand le printemps à chaque branche
Suspend un bouquet parfumé
Et l'admirant, toute petite
Si blanche en son berceau tremblant
Sa mère l'appela de suite :
Lilas-Blanc
Mon petit brin de lilas blanc !

Elle poussa, douce fleurette
Dans le fond d'un pauvre faubourg
Et dans une triste chambrette
Sans soleil et presque sans jour
En la voyant, toujours pâlotte
Avec son sourire dolent
Chacun surnommait la petiote :
Lilas-Blanc
Petit bouquet de lilas blanc !

Et puis ce fut l'apprentissage
Au cours duquel un beau garçon
Remarqué souvent au passage
Lui fit la cour une saison
Puis, un soir, il lui dit : Je t’aime !
Ajoutant plus d'un mot troublant
L'appelant : Ma mignonne… et même
Lilas-Blanc
Mon joli brin de lilas blanc !

Mais hélas, de l'infortunée
Le roman fut bientôt fini
Car elle fut abandonnée
Par son lâche et volage ami
Cacha si bien sa peine affreuse
Tout au fond de son cœur sanglant
Qu'elle en mourut, la malheureuse
Lilas-Blanc
À l'heure où meurt le lilas blanc


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