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Titre :Penses-tu que ça réussisse?
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Dequin, Léon ; Forgettes, Pierre
Interprète(s) :Morel, Max
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Columbia
Numéro de catalogue :37128
Numéro de matrice :37128-2-1
Date de l'enregistrement :1904
État :Exc
Vitesse (tours/minute) :160
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton
Date du transfert :20-11-2009
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Penses-tu que ça réussisse ?

Création : Félix Mayol (1903) - reprises = Max-Morel (1903), Charlus (1903), Lacerpète (1904)

Paroles : Pierre Forgettes - musique : Léon Dequin - Éditeur : Louis Digoudé-Diodet (1902)

Ci-dessous, textes des versions Mayol, Max Morel, Charlus

Mayol :

L'autre jour, dans la Chaussée d'Antin
Je suivais un petit trottin
J' m'écrie pour conquérir la belle :
– Mam'zelle
Arrêtez-vous donc un instant
Vous perdez quéqu' chose, mon enfant
Elle me répondit, peu farouche :
– Ta bouche !

Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
C' 't entendu
Il y a, vois-tu
Quelque chose que j'ai perdu
Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Mais c' que j'ai perdu, oui-da
Ce n'est pas toi qui l'as

Le soir de ses noces, un mari
Dit à sa femme : – Ma chérie
J' veux t' faire un discours affable
Aimable
Mais voilà qu'au moment d' parler
Il s'arrête, tout paralysé
Sa femme lui dit, l' cœur en déroute :
– Ben voyons, vas-y, j' t'écoute

Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' tu réussisses
Pour ce soir
Plus d’espoir
C’est l’émotion d’ me voir
Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' tu réussisses
Moi, je trouve que ton discours
Est un p’tit peu trop court

Des agents, flegmatiquement
L'autre nuit, tout en bavardant
Surveillaient les rues de B'lleville
Tranquilles
Quand, vers les deux heures du matin
On crie : – Je meurs ! À l'assassin !
Les agents répondent en cadence :
– Silence !

Penses-tu, penses-tu, penses-tu qu' ça réussisse
Si c’est vrai
Qu' t'étais tué
Tu pourrais pas crier
Penses-tu, penses-tu, penses-tu qu' ça réussisse
Y a longtemps qu'on n' marche plus
On a les pieds poilus

-------------------------


Max-Morel :

Dans la vie, on rencontre partout
Des gens qui veulent vous monter l' coup
L'autre jour, une femme très ficelle
Adèle
Me dit : – Prête-moi donc deux cents francs
Pour ach'ter une paire de gants
Je lui dis : – Tu me crois, poupoule
Bien moule !

Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Pour deux francs
Au "Printemps"
Y a des gants épatants
Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Tu voudrais des gants en peau
Moi, j' te fournis… la peau

Un vieux marcheur, chaussée d'Antin
L'autr' jour, suivait un p'tit trottin
Il dit, pour conquérir la belle :
– Mam'zelle
Arrêtez-vous donc un instant
Vous perdez quéqu' chose, mon enfant
Mais elle répondit, pas farouche :
– Ta bouche !

Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Entends-tu
Y a, vois-tu
Quéque chose que j'ai perdu
Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Mais c' que j'ai perdu, oui-da
Ça n'est pas toi qui l'as

Deux braves agents, tranquillement
L'autre nuit, tout en bavardant
Surveillaient les rues de Bell'ville
Tranquilles
Quand, vers les deux heures du matin
On crie : – Je meurs ! À l'assassin !
Les agents répondent en cadence :
– Silence !

Penses-tu, penses-tu, penses-tu que ça réussisse
Si c’est vrai
Qu' t"étais tué
Tu pourrais pas crier
Penses-tu, penses-tu, penses-tu que ça réussisse
D'abord, t'as pas l' droit d' crier
Il est minuit passé

-------------------------

Charlus :

Dans la vie, on rencontre partout
Des gens qui veulent vous monter l' coup
L'autre jour, une femme très ficelle
Adèle
Me dit : – Prête-moi donc deux cents francs
Il faut qu' j'achète une paire de gants
Je lui dis : – Tu me crois, poupoule
Bien moule !

Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Pour deux francs
Au "Printemps"
Y a des gants épatants
Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Tu veux des gants, mon coco
Moi, j' te fournis… la peau

Le soir de ses noces, un mari
Dit à sa femme : – J' veux aujourd'hui
T' faire un discours inoubliable
Aimable
Mais voilà qu'au moment de... parler
Il s'arrête, tout paralysé
Sa femme lui dit, l' cœur en déroute :
– J' t'écoute

Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Pour ce soir
Plus d’espoir
C’est l’émotion d’ me voir
Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Ton ami Pol est, ma foi
Bien plus bavard que toi

Y a quelque temps, chaussée d'Antin
Je suivais un petit trottin
Je dis, pour conquérir la belle :
– Mam'zelle
Arrêtez-vous donc un instant
Vous perdez quéqu' chose, mon enfant
Elle me répondit, pas farouche :
– Ta bouche !

Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Entendu
Y a, vois-tu
Quéque chose que j'ai perdu
Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse
Mais c' que j'ai perdu, mon rat
Ce n'est pas toi qui l'as

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