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Titre :La sœur de l'orphéoniste (Bouzy les Melons [ou] Le Frère de l'Orphéoniste)
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Chaudoir, Félix ; Laroche, Léon
Interprète(s) :Lejal, Victor
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Lioret n°4 en 2 parties (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Lioret
Date de l'enregistrement :1899-1901
Couleur de la pâte :blanc
Vitesse (tours/minute) :106
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :18-06-2010
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos la thèse d'Henri Chamoux La diffusion de l’enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf.
Texte du contenu :La soeur de l'orphéoniste

Créé en 1893 par Mlle Nancy au Concert Parisien, à Parisiana et aux Folies-Belleville, Mlle Brissot aux Ambassadeurs, Philo-Durand au Casino de Paris, Les Sœurs Faure au Bal Bullier, Mme Willarme, Delly-Mô au Concert de la Pépinière, Mlle Alexandrine au Concert de l’Époque, Mlle Davigny à Ba-Ta-Clan, Élisa Brissot au Petit Casino- reprises : Viollette (1894 au Trianon), Grisard (1898) , Victor Lejal,...

Paroles : Léon Laroche - Musique : Félix Chaudoir - Éditeur : Puigellier et Bassereau - Paris (1893)


Bravo :

J' suis le frère d'un orphéoniste
Dont la voix produit des chauds sons
Et le frère du premier soliste
De l'Orphéon d’ Bouzy-les-M’lons
C'est moi qui porte la bannière
Il faut nous voir dans les concours
Défiler devant monsieur l' maire
En chantant après son discours

{Refrain :}
Talata talata talata talata
Zim boum zim boum boum
V'là l'Orphéon d’ Bouzy-les-M’lons
Pour chanter comme eux
Faut du poil aux yeux
Et bien entendu
Faut du poil aux cul
Talata zim boum boum
On n'en voit pas souvent d' comme ça
Talata zim boum boum
Ils sont chouettards, ces lascars-là

Le président qu'est une basse-taille
A six pieds et dix pouces de haut
Le ténor léger, quand il braille
Ouvre la bouche comme celle d'un crapaud
Su' l' dos, l' baryton porte une bosse
Le soprano boite en marchant
Son frère louche d'une manière atroce
Et tout l' monde dit en les r'luquant :

{Refrain :}
Tala zim boum boum talazim boum boum
Zim boum zim boum boum
V'là l'orphéon d' Bouzy les M'lons
Pour chanter comme eux
Faut du poil aux yeux
Et bien entendu
Faut du poil aux cul
Talata zim boum boum
Ils sont chouettards, ces lascars-là
Talata zim boum boum
On n'en voit pas souvent comme ça

Au couronnement d' la rosière
Nous chantons d'vant les conseillers
Et l'adjoint, qu'est vétérinaire
Fait chorus avec les pompiers
Le tambour de ville exécute
Un solo d' caisse étourdissant
Pendant qu' pour nous voir on s' dispute
Et qu' les curieux crient dans c' boucan :

{Refrain :}
Tala zim boum boum talazim boum boum
Zim boum zim boum boum
V'là l'orphéon d' Bouzy les M'lons
Pour chanter comme eux
Faut du poil aux yeux
Et bien entendu
Faut du poil aux cul
Talata zim boum boum
Ils sont chouettards, ces lascars-là
Talata zim boum boum
On n'en voit pas souvent comme ça


-----------------

Victor Lejal sur cylindre Lioret n°4 :

{Parlé :}
La fanfare de Bouzy-les-M'lons au concours régional de Charenton les Bains.
Allons, les enfants, et tâchons de nous distinguer aujourd'hui, hein. Y a monsieur l' maire et madame la mairesse et puis y a l'assistance et toute la brescolle-là (?) et qu'a les œils fixés sur nous, tâchons d' pas faire de blagues surtout. Allez !
(fausses notes)
Dieu ! Y m'en bouche un coin çui-là, par exemple. Allons, hein, pas de blague là, ça va bien pour une fois. Savez-vous. Hein ? Tâchons d' montrer qu' nous avons du nerf, nom d'un chien, qu' nous sommes à la hauteur de la tour de tour Eiffel, bon sang ! Allez, un, deux... et trois !

Je suis le frère d'un orphéoniste
Dont la voix produit des chauds sons
Et le frère du premier soliste
De l'Orphéon d' Bouzy-les-M'lons
C'est moi qui porte la bannière
Et faut nous voir dans les concours
Défiler devant monsieur l' maire
En chantant après son discours

{Refrain :}
Lalala lalala lalala lalala
Zim boum zim boum boum
V'là l'Orphéon d’Bouzy-les-M’lons !
Pour chanter comme eux
Faut du poil aux yeux
Pour chanter comme eux
Faut du poil aux yeux
Tralalala lala
On n'en voit pas souvent d' comme ça
Tralalala lala
Ils sont chouettards, ces lascars-là
Tralalala lala
On n'en voit pas souvent d' comme ça
Tralalala lala
Ils sont chouettards, ces lascars-là


-----------------

Anonyme :

{Parlé :}
L'orphéon de Bouzy les Me'lons au concours régional de Charenton les Bains.

Allons, les enfants, attention, hein, tâchons d' nous distinguer aujourd'hui. Y a monsieur l' maire et madame la mairesse et l' garde-champêtre et toute la sainte bricole et qu'a les œils fixés sur nous, alors tâchons d' faire voir qu' nous sons des gaillards qu'avons des poils aux yeux. Ca y est ? Eh ben, su' l' temps, là, hé. Un, deux... et trois !

Je suis l' frère d'un orphéoniste
Dont la voix produit des chauds sons
Et le frère du premier soliste
De l'Orphéon d’ Bouzy-les-M’lons
C'est moi qui porte la bannière
Et faut nous voir dans les concours
Défiler devant monsieur l' maire
En chantant après son discours

{Refrain :}
Tralala lalala lalala lalala
Zim boum zim boum boum
V'là l'Orphéon d’ Bouzy-les-M’lons
Pour chanter comme eux
Faut du poil aux yeux
Pour chanter comme eux
Faut du poil aux yeux
Tralalala lala
On n'en voit pas souvent d' comme ça
Tralalalalala
Ils sont chouettards, ces lascars-là

Le président qu'est une basse-taille
A dix pieds et quatre pouces de haut
Le ténor léger, quand il braille
Ouvre une bouche comme celle d'un crapaud
Su' l' dos, l' baryton porte une bosse
Le soprano boite en marchant
Son frère louche d'une manière atroce
Et tout l' monde dit en les r'luquant :

{au Refrain :}

Dans un festival de province
Où l'on nous avait convoqués
V'là qu'au déjeuner chacun pince
Un plumet des plus compliqués
Tous étaient ronds comme des citrouilles
Si ben qu'on aurait cru franch'ment
Entendre coasser des grenouilles
Qu'auraient été en mal d'enfants

{au Refrain}


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