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Titre :Ma grosse Julie
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Ducreux, A. ; Garnier, Léon ; Disle, Fernand
Interprète(s) :Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s)
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Lioret n°4 (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Lioret
Date de l'enregistrement :1899-1901
Instruments :orchestre acc.
Couleur de la pâte :Celluloïd blanc
État :moyen
Vitesse (tours/minute) :107
Matériel employé au transfert :Archéophone
Date du transfert :09-04-2006
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos la thèse d'Henri Chamoux La diffusion de l’enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Coll. Jalal Aro. Mention de lieu : parc Monceau. Cylindre monté sur tube aluminium.
Texte du contenu :Ma grosse Julie

Création : Polin (1893 à l'Alcazar d’Été) - reprise Urban - Paroles : Léon Garnier, Fernand Disle - Musique : Ducreux - Éditeur : Au Répertoire Moderne, Paris


Polin :

Quand le printemps fait bourgeonner
Les lilas et le bout d’mon nez
J’vas faire un tour très poétique
Au parc Monceau qu'est magnifique
C’est là qu’un jour, bien astiqué
Je m’ai soudainement toqué
D’une nounou qu’a un corsage
Ousqu’y a pas de ballotage

{Refrain :}
Ma grosse Julie est une nourrice
Que j’ai connue au parc Monceau
J’vous jure qu’elle n’a rien de factice
Sur le devant comme au verso

{Parlé en mesure :}
Elle est si bonne, cette grosse poulette
Qu’elle trouve toujours moyen d’vous mettre
Sur les deux joues un gros bécot
Même quand on lui tourne le dos
Ah ! comme elle est belle et jolie
Ma grosse Julie

J’y prends la main, elle m’prend la main
Nous marchons dans un petit ch'min
Ousque ça sent la fleur d’orange
Y a pas d’paix qu’on nous dérange
Avec amour et suavité
J’lui taquine sa rotondité
Et même quelquefois, je l’confesse
Je lui pince un p’tit peu les… joues

{Refrain :}
Ma grosse Julie est une nourrice
Que j’ai connue au parc Monceau
J' vous jure qu’elle n’a rien de factice
Sur le devant comme au verso

{Parlé en mesure :}
Seul'ment j’ai vu mon adjudant
L’autre jour baiser son menton blanc
Puis mon sergent lui baiser l’cou
Alors moi qui n’suis qu’un pioupiou
En voyant tout ça, j’ai pensé :
Qu’est-ce qu’elle va donc m’faire embrasser
Ah ! comme elle est brlle et jolie
Ma grosse Julie

Nous nous donnons des noms d’oiseaux
Ou de gracieux animaux
Elle me dit : T’es mon dromadaire
Mon p’tit cochon d’lait, ma soupière
Elle m’appelle son soleil
Ou bien son astre sans pareil
Son Mercure, son Mars, son Neptune
Alors moi, j’l’appelle ma grosse lune

{Refrain :}
Ma grosse Julie est une nourrice
Que j’ai connue au parc Monceau
J' vous jure qu’elle n’a rien de factice
Sur le devant comme au verso

Ah ! comme elle est belle et jolie
Ma grosse Julie


------------------

Anonyme :

Quand le printemps fait bourgeonner
Les lilas et le bout d’mon nez
J’vais faire un tour mélancolique
Dans l’parc Monceau qu’est magnifique
C’est là qu’un jour, ben astiqué
Je m’ai soudainement toqué
D’une nounou qu’a z’un corsage
Ousqu’y a pas de ballotage

{Refrain :}
Ma grosse Julie est une nourrice
Que j’ai connue au parc Monceau
J’vous jure qu’elle n’a rien de factice
Sur le devant comme au verso

{Parlé en mesure :}
Elle est si bonne, cette grosse poulette
Qu’elle trouve toujours moyen d’vous mettre
Sur les deux joues un gros bécot
Même quand on lui tourne le dos
Ah ! comme elle est bonne et jolie
Ma grosse Julie

Quand pour la première fois j’la vis
C’était au fond d’un p’tit taillis
Qu’la nuit avait tout rempli d’ombre
L’oreille d’un nègre n’est pas plus sombre
Profitant de l’obscurité
Je dis à cette déité :
Montrez-moi votre jambe, ma sirène
Après ça, j' vous f’rai voir la mienne

{Refrain :}
Ma grosse Julie est une nourrice
Qu’j’ai rencontrée au parc Monceau
J’vous jure qu’elle n’a rien de factice
Sur le devant comme au verso

{Parlé en mesure :}
D’abord elle a des mollets qui
Sont tellement larges et tellement gros
Qu’on dirait deux p’tits jambonneaux
Quand j’veux les voir, j’lève le rideau
Ah ! comme elle est bonne et jolie
Ma grosse Julie

Nous nous donnons des noms d’oiseaux
Ou de gracieux animaux
Je lui dis : T’es mon dromadaire
Mon p’tit cochon d’lait, ma soupière
Elle m’appelle son soleil
Ou bien son astre sans pareil
Son Mercure, son Mars, son Neptune
Alors moi, j’l’appelle ma grosse lune

{Refrain :}
Ma grosse Julie est une nourrice
Qu’j’ai rencontrée au parc Monceau
J' vous jure qu’elle n’a rien de factice
Sur le devant comme au verso

{Parlé en mesure :}
Puis le soir avant la retraite
J’lui chante une petite chansonnette
Ça la fait tell'ment rigoler
Qu’elle a toujours envie d’bisser
Ah ! comme elle est bonne et jolie
Ma grosse Julie


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