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Titre :Philémon et Baucis ; couplets de Vulcain
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Gounod, Charles ; Barbier, Jules ; Carré, Michel
Interprète(s) :Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s)
Genre :Opéra
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Lioret n°4 (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Lioret
Date de l'enregistrement :1899-1901
Instruments :orchestre acc.
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :106
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe 4,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 3kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :04-02-2011
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos la thèse d'Henri Chamoux La diffusion de l’enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. On distingue bien une soudure longitudinale sur la surface interne du tube laiton
Texte du contenu :Philémon et Baucis ; couplets de Vulcain

Création : Émile Balanqué (1860 au Théâtre-Lyrique) - Paroles : Jules Barbier, Michel Carré - Musique : Charles Gounod - Éditeur : Choudens père et fils, Paris (1860)


Au bruit des lourds marteaux d'airain
Au sombre éclat de la fournaise
Dans mon empire souterrain
Je marche et je respire à l'aise
Je règne en maître souverain
Mais chez vous j'en ai honte
Chaque fois que j'y monte
J'enrage de me voir
Si difforme et si noir
Mon aspect vous fait rire
Et tout bas j'entends dire :
Vénus n'avait pas tort
Il mérite son sort
Sans écouter le reste
Loin du séjour céleste
Moi, je fuis.
Voilà pourquoi, voilà pourquoi, voilà pourquoi
J'aime à rester, à rester chez moi

Sous les monts fermés au ciel bleu
Je commande toute une armée
De noirs géants maîtres du feu
Au sein de l'ardente fumée
Comme vous là-haut je suis dieu
Mais quand Junon m'invite
À lui rendre visite
J'enrage de me voir
Si difforme et si noir
Mon aspect la fait rire
Et tout bas j'entends dire :
Vénus n'avait pas tort
Il mérite son sort
Sans écouter le reste
Loin du séjour céleste
Moi, je fuis.
Voilà pourquoi, voilà pourquoi, voilà pourquoi
J'aime à rester, à rester chez moi


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