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4975 résultats trouvés
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| Titre : | La boiteuse |
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Gangloff, Léopold ; Delormel, Lucien ; Garnier, Léon |
| Interprète(s) : | Maréchal, André |
| Fichier audio : | |
| Support d'enregistrement : | Cylindre |
| Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
| Marque de fabrique, label : | Pathé |
| Numéro de catalogue : | 1270 |
| Couleur de la pâte : | noir moulé |
| Vitesse (tours/minute) : | 160 |
| Matériel employé au transfert : | Archéophone |
| Date du transfert : | 13-10-2002 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
| Texte du contenu : | La boiteuse
Création : Paulus - reprises : Maréchal, Bravo, Charlus, Perchicot,... Paroles : Lucien Delormel, Léon Garnier - Musique : Léopold Gangloff - Éditeur : Répertoire Paulus Bravo : Quand elle reporte au régiment Le linge du casernement, La petite boiteuse d'Alençon Est adorée d' la garnison. Sitôt qu'il voit son pied mignon, L' sergent-fourrier met son lorgnon, Et l' major s'écrie : - Cré nom ! Mam'zelle Banban ! r'luquez-la donc ! {Refrain :} Il faut la voir le long de la rivière, Boitant par devant, boitant par derrière, La jambe droite qui cloche un tout p'tit peu Semble crier : - Au feu ! au feu ! au feu ! Pendant que la gauche lui répond : - Où donc ? où donc ? où donc ? - Ah ! dit son petit strapontin, Pas d' potin, Car tout est éteint ! Tout est éteint ! Quand elle va voir le caporal, Elle prend son p'tit air virginal ; Elle a sa jupe de sarrau, Avec son bonnet de tricot ; Elle a sa robe couleur pruneau, De sa tante le vieux manteau, Des bas de couleur abricot, Et des p'tits souliers Godillot. {au Refrain} Quand elle va voir le lieutenant, Elle met un frais jupon blanc, Sa belle robe de gala Et son grand chapeau panama. Afin d'enrichir ses appas, Elle met du coton dans ses bas, Puis se fourre dans son estomac Toutes les chaussettes de son papa {au Refrain} ----------------------- Maréchal : Quand elle reporte au régiment Le linge du casernement, La petite boiteuse d'Alençon Est adorée d' la garnison. Sitôt qu'il voit son pied mignon, L' sergent-fourrier met son lorgnon, Et l' major s'écrie : - Nom de nom ! Mam'zelle Banban ! r'luquez-la donc ! {Refrain :} Il faut la voir le long de la rivière, Boitant par devant, boitant par derrière, La jambe droite qui cloche un tout p'tit peu Semble crier : - Au feu ! au feu ! au feu ! Pendant que la gauche lui répond : - Où donc ? où donc ? où donc ? - Ah ! dit son petit strapontin, Pas d' potin, Car tout est éteint ! Tout est éteint ! Quand elle va voir le caporal, Elle prend son p'tit air virginal ; Elle a sa jupe de sarrau, Avec son bonnet de tricot ; Elle a sa robe couleur pruneau, De sa tante le vieux manteau, Des bas de couleur abricot, Et des p'tits souliers Godillot. {au Refrain} L'autre jour, au fond d'un couloir, Quelqu'un la pince ; il faisait noir. Elle pousse un tel cri qu'un planton Lui crie de loin : - Qu'est-c' qu'y a donc ? - On me pince, dit-elle, en c' moment. - Où ça ? demande-t-il sur-le-champ - Ah ! lui répond-elle du même air J'en sais rien, on n'y voit pas clair ! {au Refrain} |
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