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Titre :La chanson des bœufs
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Petiveau, Blaise ; Osmont, Edouard
Interprète(s) :Guilbert, Yvette
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
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Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Inter (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de catalogue :1459
Numéro de matrice :1195
Instruments :piano acc.
Couleur de la pâte :noir moulé
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :160
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe Pathé sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6kHz, Cedar X declick, decrackle
Date du transfert :02-03-2014
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Edouard Osmont (1855-1909) alias Blaise Petiveau (1874-1922), les informations contradictoires ne manquent pas !
Texte du contenu :La chanson des boeufs
de Blaise Petiveau
chantée par Madame Yvette Guilbert

C'est nous les boeufs
Les boeufs tranquilles
Qui serions heureux comme tout
Si par un destin moins hostile

Nous n'étions marqués que de roux
Fréquemment nous entendons dire
On n'est pas des boeufs, Dieu merci !
Notre pauvre coeur se déchire

De ne pouvoir le dire aussi
Être des boeufs, fâcheuse affaire
Toujours veau gras, toujours cousins
Jamais mari et jamais père
C'était notre triste destin

Quand il est des vaches si belles
Exhibant à tous dans les prés
D'aussi séduisantes mamelles
À ne pouvoir se pendre après !

Ces vachettes au blanc de marbre
Au petit museau séduisant
Qui passent langue sous les arbres
Oui nous avons étrangement

Soif et faim de tant de merveilles
Mais vous connaissez le dicton
Ventre affamé n'a pas d'oreilles
Mais sans oreille que fait-on ?

Souvent l'un de nous s'amourache
D'une génisse à l'oeil mutin
Elle est gênée ah c'est-y vache !
Ces efforts sont toujours vains

Nous sommes piteux virtuoses
Pour exciter un jeune coeur
Il nous manque la grosse chose
Le je-ne-sais-quoi séducteur

Nous sommes la joie des familles
La tranquillité des parents
Et sans crainte les jeunes filles
Ne veul't nous confier leurs mamans

Mais ce qui dépasse les bornes
C'est ce phénomène imprévu
Sur nos têtes d'avoir des cornes
Et n'être pas même cocu

Eh enfin ! Être cocu, dame !
Ceci ne souffre discussion
Être cocu, c'est avoir femme
Plût au ciel que nous le fussions !






















Aucun autre transfert audio du même document, aucune face associée

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