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Titre :Les réservistes rigolos, scène comique
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Daulnay, Eugène ; Aillaud, Théodore
Interprète(s) :Chavat, Louis ; Girier, Ambroise
Genre :Sketch
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de catalogue :2244
Numéro de matrice :24216
Instruments :dialogue
Couleur de la pâte :blanc, cursive sur tranche
État :tbon
Vitesse (tours/minute) :160
Matériel employé au transfert :Archéophone
Date du transfert :06-02-2000
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Armée, conscrits
Texte du contenu :Les réservistes rigolos

Création : Les Libre et Change, duettistes typiques - reprises : Chavat et Girier, Charlus et Maréchal (1905), Charles Weiss et Roland Lenoir (1905)

Paroles : Théodore Aillaud - Musique : Eugène Daulnay - Editeur : Au Diapason, Chavat-Girier, Paris

Chavat et Girier :

– Sont-ils bêtes, ces sacrés réservistes ! En v’là un, j’lui demande s’il sait compter, il me répond qu’il est professeur de mathématiques. Espèce de gourde, va ! Debout là, l’numéro deux, comment vous appelez-vous ?
– Raie
– Comment ?
– Raie !
– J’aurais dû m’en douter, vous en avez bien l’air. Votre profession ?
– Allumeur de becs de gaz
– D’quelle compagnie êtes-vous ?
– D’quelle compagnie que j’suis ?
– Oui
– Ben, d’la Compagnie du gaz !
– Encore une mouche, celui-là ! Au suivant, là, l’numéro trois… votre nom ?
– Laboucle
– Hein ? Tâchez d’être poli, vous !
– Mais, mon capitaine, c’est mon nom d’famille. J’m’appelle Laboucle.
– Laboucle ? Eh bien, n’faites pas l’malin ou j’vais vous boucler ! D’où êtes-vous ?
– Je suis un enfant d’Mamers.
– Parbleu ! j’m’en doute ! J’vous demande pas ça, j’vous demande le nom de votre pays.
– Eh ben, c’est Mamers, mon père est maire de Mamers.
– Compliqué, c’t oiseau-là, v’là qu’son père est mère de sa mère…
– Mais non, mon capitaine, Mamers c’est l’nom d’mon patelin et papa est maire de notre pays.
– Oui, j’comprends bien, votre mère, c’est votre père.
– Mais non, non, ce n’est pas ma mère qui est maire, c’est mon père qui est maire.
– Assez ! Y a d’quoi devenir loufoque avec votre famille ! Au suivant, là, l’numéro quatre. Comment vous appelez-vous ?
– Boucher
– J’vous demande pas votre profession, j’vous demande votre nom !
– Eh ben, Boucher, Jean Boucher
– Encore un idiot, hé ! J’vais lui demander sa profession, comme ça il me dira peut-être son nom. Votre profession ?
– Masseur
– Vous dites ?
– Masseur. Ben oui, quoi, j’suis masseur, j’suis masseur à Montmartre.
– Comment ? Vous suivez votre sœur à Montmartre. Et vous dites que c’est votre profession ! Eh bien, c’est du propre ! Mais j’vous préviens, si vous n’répondez pas immédiatement à ce que je vous demande, j’vous fous d’dans ! Quels sont vos nom, prénom et profession ?
– Jean Boucher, masseur
– Répétez voir un peu…
– Jean Boucher, masseur
– Ah ! vous embouchez votre sœur, vous ! Eh bien moi, j’vais vous en boucher un coin ! Vous m’ferez quatre jours. Allez, rompez !
– Ah ! ben, elle est forte, celle-là ! oh là là...

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Charlus et Maréchal :

– Ah là là là là, scrogneux, sont-ils bêtes, ces sacrés réservistes ! En v’là un, j’lui demande s’il sait compter, il m' répond qu’il est professeur de mathématiques. Espèce de gourde, va ! Alors vous, l’numéro deux, comment vous appelez-vous ?
– Raie
– Comment ?
– Raie !
– Raie ! J’aurais dû m’en douter, vous en avez bien la tête. Votre profession ?
– Allumeur de becs de gaz
– D’quelle compagnie êtes-vous ?
– D’quelle compagnie que j’suis ?
– Oui
– Ben, d’la Compagnie du gaz !
– Oh là là là là, encore une moule ! Oh, mon Dieu, mon Dieu, quelle clique ! Allons, l’numéro trois… votre nom ?
– Laboucle
– Ah ! dites donc, tâchez d’être poli, vous, hein !
– Mon capitaine, je suis poli, c’est mon nom. J’m’appelle Laboucle.
– Z'app'lez Laboucle ? Eh bien, n’faites pas l’malin ou j’vais vous boucler, moi ! D’où êtes-vous ?
– Je suis un enfant d’Mamers.
– Ben, parbleu ! j’l’sais bien ! Je vous d'mande pas ça, je vous d'mande le nom de votre pays.
– Ben, c’est Mamers, mon père est maire de Mamers.
– Oh, il est complèt'ment idiot, celui-là ! Ton père est mère de ta mère ?
– Mais non, mon capitaine, Mamers c’est l’nom d’mon patelin et papa est maire de notre pays.
– Ben oui, ben oui, j’comprends bien, quoi, votre mère, c’est votre père.
– Mais non, mais non, c’est pas ma mère qu'est père, c’est mon père qui est maire.
– Ah là là ! mais y a d’quoi dev'nir loufoque avec votre famille ! Alors vous, l’numéro quatre, comment vous appelez-vous ?
– Boucher
– Je n'demande pas votre profession, j’demande votre nom !
– Eh ben quoi, Boucher, Jean Boucher
– Encore un idiot ! J’vais lui demander sa profession, comme ça il me dira peut-être son nom d'famille. Alors, votre profession ?
– Masseur
– Vous dites ?
– Masseur, quoi, j’suis masseur à Montmartre.
– Comment, comment ? Vous suivez votre sœur à Montmartre. Et vous dites que c’est votre profession ! Eh ben, c’est du propre ! Mais j’vous préviens que si vous n’répondez pas immédiatement à ce que j'vous d'mande, je vous fous d’dans ! Quels sont vos nom, prénom et profession ?
– Jean Boucher, masseur
– Répétez voir un peu…
– Jean Boucher, masseur
– Ah ! vous embouchez votre sœur, vous ! Eh bien moi, j’vais vous en boucher un coin ! Vous m’ferez quatre jours. Allez, rompez !
– Ah ! ben, elle est forte, celle-là ! oh là là...


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