Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil  

   
Titre :
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :
Interprète(s) :
Genre :
Année d'enregistrement :
Instruments :
Marque de fabrique, label :
Format :
   
Retour au tableau des résultats

4975 résultats trouvés

Précédent 1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 463 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4401 4451 4501 4551 4601 4651 4701 4751 4801 4851 4901 4951 4975 Suite droite

 
Titre :Camus chez Grévin
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Spencer, Émile ; Rimbault, Eugène
Interprète(s) :Polin [Pierre Paul Marsalès]
Genre :Café-concert : comique troupier
Fichier audio :
Photo(s) :
PhotoPhoto
PhotoPhoto
Photo
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Inter (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de catalogue :3777
Numéro de matrice :3034
Instruments :piano acc.
État :Exc+
Matériel employé au transfert :Archéophone
Date du transfert :15-02-2009
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Camus chez Grévin

Paroles : Eugène Rimbault - Musique : Émile Spencer - Éditeur : Delormel, Paris (1898)


Polin sur cylindre Pathé :

Je rencontre place de la République
L'ami Camus qui viv'ment m' dit :
Où qu' tu vas ? Nulle part que j' réplique
I' m' fait : Tiens, moi j'y vais aussi
Alors tous les deux on s' balade
Quand plus loin qu' la Porte Saint-Martin
J' lui dis : Comme t'es mon camarade
J' vas t' mener au musée Grévin

J'ajoute : Tu sais, c'est magnifique
On y voit des rois, des empereurs
Des soldats, des hommes politiques
Des assassins et puis des voleurs
Bref, on rentre, Camus sans rien dire
Saluait tous les types décorés
Ah ! ah ! j' lui dis : Andouille, i's sont en cire
C'est des officiers imités
Tu vois pas ça, non ?

Ah ! qu'i' m' dit ; alors on s'arrête
Devant un colonel bien campé.
Camus m' dit : Il est rudement chouette
L' pied en avant et l' poing fermé
Tiens, comme notre colonel en somme
L'autre jour m'a fait mettre en prison
J' vas m' venger d' lui sur ce bonhomme
Attends, j' vas y mettre un marron
Tu vas voir !

Oui, j'y fais, c'est ça, personne ne passe
Vise-le et tâche de pas l' rater
Seulement, tu sais, faut pas qu' tu l' casses
Parce qu'après on nous l' f'rait payer
Aussitôt l' camarade s'apprête
I' veut l'ver la main su' l' mannequin
Oui, mais alors jugez d' sa tête :
C'est l' mannequin qui lui fout un pain

Ah ! tu croyais qu' j'étais en cire
Dit le mannequin tout en rigolant
Mais sans rien dire tous deux on s' tire
Et Camus m' dit : I' cogne salement
I' m'a servi la bonne mesure
Mon vieux, j'avais bien vu son poing fermé
Mais j' savais pas, la chose est sûre
Qu' c'était pour me l' foutre sur le nez

-----------------------------

Polin sur Berliner's Gramophone 32014 :


Je rencontre place de la République
L'ami Camus qui m' dit comme ça :
Où qu' tu vas ? Nulle part qu' j'y réplique
I' m' fait : Tiens, moi j'y vais aussi
Alors tous les deux on s' balade
Quand plus loin qu' la Porte Saint-Martin
J' lui dis : Comme t'es mon camarade
J' vas t' amener au musée Grévin

J'ajoute : Tu sais, c'est magnifique
On y voit des rois, des empereurs
Des soldats, des hommes politiques
Des assassins et puis des voleurs
On rentre et Camus sans rien dire
Saluait tous les types décorés
Hé ! j' lui dis : Andouille, i's sont en cire
C'est des officiers imités

Ah ! qu'i' m' dit, puis v'là qu'on s'arrête
Devant un colonel bien campé.
Camus m' dit : Il est rudement chouette
L' pied en avant et l' poing fermé
Tiens, comme notre colonel en somme
L'autre jour m'a fait mettre en prison
J' vas m' venger d' lui sur ce bonhomme
Attends, j' vas y mettre un marron

J'y fais, c'est ça, personne ne passe
Vise-le et tâche de pas l' rater
Seulement, tu sais, y faut pas qu' tu l' casses
Parce qu'après on nous l' f'rait payer
Aussitôt l' camarade s'apprête
I' veut l'ver la main su' l' mannequin
Oui, mais alors jugez d' sa tête :
C'est l' mannequin qui lui met un pain

Ah ! tu croyais qu' j'étais en cire
Dit l' mannequin tout en rigolant
Mais sans rien dire tous deux on s' tire
Et Camus m' dit : I' cogne salement
I' m'a servi la bonne mesure
J'avais bien vu son poing fermé
Mais j' savais pas, la chose est sûre
Qu' c'était pour me l' foutre sur le nez


Aucun autre transfert audio du même document, aucune face associée

Permalien : http://www.phonobase.org/3781.html

  Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil