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Titre :Douce chanson
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Clérice, Justin ; Jost, Adolphe ; Garnier, Léon
Interprète(s) :Maréchal, André
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de catalogue :2646
Instruments :piano acc.
Couleur de la pâte :noir moulé
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :167
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe Pathé sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5 kHz, Cedar X declick, decrackle
Date du transfert :04-09-2014
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Intéressant : incipit recopié au crayon sur l'étiquette, "[appréciation] ttbb et [vitesse] 140"
Texte du contenu :Créée par Rosetti en 1897 - Paroles : Jost et Léon Garnier - Musique : Julien Clérice - reprise par André Maréchal en 1897 (second couplet pas enregistré)


C'était la saison des lilas
J’allais pensif et le cœur las
Errant de ci, de là, qu’importe
Une blonde était sur sa porte
Sa beauté troubla ma raison
J’entrai dans son humble maison
Et j’eus peur de quelque folie
Car de sa voix combien jolie
Elle chantait une chanson
Douce et d’une harmonie étrange
La musique était d’un pinson
Les paroles d’une mésange

À travers son regard profond
De son âme on voyait le fond
Et le duvet de sa frimousse
Était doux ainsi qu’une mousse
Tel le plus humble des servants
Je lui disais des mots fervents
Comme les mots que l’on épèle
À genoux dans une chapelle
Elle chantait une chanson
Douce et d’une harmonie étrange
La musique était d’un pinson
Les paroles d’une mésange

Voici bien longtemps de cela
Car celle qui m’ensorcela
Un soir me quitta pour un autre
Éphémère amour que le nôtre
Les nuits que je passe à veiller
Je cherche encor sur l’oreiller
De sa tête l’empreinte creuse
J’attends toujours mon amoureuse
Mais je n’entends plus sa chanson
Douce et d’une harmonie étrange
La musique était d’un pinson
Les paroles d’une mésange

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