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3643 résultats trouvés
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| Titre : | L'arrière-garde |
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Rimbault, Eugène ; Christiné, Henri ; Villard, Jean |
| Interprète(s) : | Polin [Pierre Paul Marsalès] |
| Genre : | Café-concert : comique troupier |
| Fichier audio : | |
| Photo(s) : |  |
| Support d'enregistrement : | Disque |
| Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
| Marque de fabrique, label : | APGA |
| Numéro de catalogue : | 1015 |
| Instruments : | orchestre acc. |
| État : | Exc++ |
| Vitesse (tours/minute) : | 91 |
| Matériel employé au transfert : | Stanton 150, SME-Clément, pointe 1,5ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6,5kHz : Cedar X declick, decrackle, dehiss |
| Date du transfert : | 27-11-2017 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Comique troupier |
| Texte du contenu : | L'arrière-garde
Paroles : Jean Villard - Musique : Eugène Rimbault, Henri Christiné - Éditions Le Tourlourou (vers 1906) La partition : Aux manœuvres, le capiston m’dit : Écoute voir un peu c’qui t’regarde Comme on attaque l’enn’mi cette nuit On va t’placer dans l’arrière-garde L’avant-garde surveille tout c’qu’est d’vant Et quant à l’autre c’est tout l’contraire Tu saisis bien mon raisonn’ment Ce soir, tu surveilles les derrières Bon, que je m’dis, j’m’en vais faire ça La b’sogne est pas désagréable Surveiller c’genre de machins-là C’est gentil, si c’est pas conv’nable J’pars et j’vois une belle fille qui vient Ayant des seins comme une nourrice Je m’dis : C’est dommage, nom d’un chien Qu’l’avant-garde soit pas d’mon service Mais l’autre face était chouette aussi J’pensais : La belle est bien montée J’vais avoir avec son fourbi Du travail pour toute la soirée Passant près d’elle, v’là qu’un monsieur La frôle par là sans plus d’manière Touchez pas ça qu’j’y crie, vingt dieux ! Car ça c’est d’la zone militaire L’monsieur s’sauve, alors moi j’saisis L’objet d’la séduisante personne Elle me laisse faire puis è’ m’sourit Quand soudain v’là la r’traite qui sonne Furieux et r’tirant vite ma main J’dis à la belle : Quoique qu’ça m’amuse J’suis forcé d’lâcher votre machin Présentez-lui toutes mes excuses J’rentre en r’tard, rempli d’désespoir L’capiston m’dit : Qu’est-ce t’as pu faire ? Je lui réponds : J’ai fait mon d’voir Je m’suis occupé des derrières Mais y en a qu’un qu’j’ai surveillé Un qu’était large comme trois fois l’vôtre J’ai même pu en prendre qu’une moitié Mais d’main j’tâch’rai d’aller prendre l’autre |
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