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3643 résultats trouvés
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| Titre : | La femme de Paillasse |
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Jouve, Édouard ; Mortreuil, Félix |
| Interprète(s) : | Bérard, Adolphe |
| Genre : | Café-concert |
| Fichier audio : | |
| Photo(s) : |  |
| Support d'enregistrement : | Disque |
| Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
| Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
| Numéro de catalogue : | 60464 |
| Numéro de matrice : | xp3544-x2 |
| Date de l'enregistrement : | 1907 |
| Instruments : | orchestre acc. |
| Vitesse (tours/minute) : | 76 |
| Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
| Date du transfert : | 28-09-2014 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
| Texte du contenu : | La femme de Paillasse
Création : La Criolla - Paroles : Félix Mortreuil - Musique : Édouard Jouve Sur l' tréteau de sa roulotte Un pitre au bagout insensé À la foule clame et japotte : Le spectacle va commencer ! Tudieu, la belle populace Des seigneurs et des citadins Allons, bonimente, Paillasse Va jusqu'au bout, sois donc pantin Entrez messieurs, entrez mesdames Ce soir, nous jouons un grand drame Madame Tabarin Au talent si fin À tous va montrer Sa perversité Et moi qui vais jouer Le mari trompé Et dans cet emploi, je tiens bien mon rôle Vous verrez que je suis bien drôle Gens de noblesse et d'élégance Entrez, entrez, et l'on commence La baraque est pleine, on réclame Car on ne voit plus Tabarin Dans la coulisse se joue un drame Quand le rideau lève soudain Un coup de feu se fait entendre Des injures puis un grand cri Le Paillasse vient de surprendre Sa femme en vrai flagrant délit Par les cheveux traînant sa femme Le pitre est en scène et déclame : Elle m'a trompé Je viens d' la tuer L'homme maudissait On applaudissait Car on ignorait Ce qui se passait Et devant ces pleurs, ces cris et ces larmes Voyant encore fumer son arme Bravo ! clamaient hommes et femmes Assomme-la ! C'est un beau drame ! |
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