Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil  

   
Titre :
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :
Interprète(s) :
Genre :
Année d'enregistrement :
Instruments :
Marque de fabrique, label :
Format :
   
Retour au tableau des résultats

3643 résultats trouvés

Précédent 1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1559 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3643 Suite droite

 
Titre :La petite bretonne
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Berniaux, Désiré ; Bénech, Ferdinand-Louis
Interprète(s) :Charlus [Louis-Napoléon Defer]
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
PhotoPhoto
PhotoPhoto
PhotoPhoto
Photo
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de catalogue :4734
Numéro de matrice :31656P
Instruments :orchestre acc.
Couleur de la pâte :noir moulé
État :Tbon
Vitesse (tours/minute) :160
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton, Cedar X declick, decrackle
Date du transfert :28-12-2009
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :La petite bretonne
Création Mayol (1907 aux Folies Bergère de Rouen puis à l'Alcazar d'Été) - reprises : Carvey (1907), Charlus (1908), Jean Péheu (1909), Bérard (1911), Raival, Paul Dalbret, Georgel

Paroles : Ferdinand-Louis Bénech - Musique : Désiré Berniaux - Éditeur : Charles MAyol (1908)

J’flânais un soir, place Pigalle
Rêvant d’amour idéal
D’une femme qui m’donnerait son cœur
Et dont j’posséderais la fleur
Quand soudain, d’vant moi
J’aperçus le plus joli minois
[Charlus : J'aperçois le plus joli minois]
Naïf et coquet
C’était mon rêve qui passait !
Sans le vouloir, instinctivement
Je la suivis en détaillant

{Refrain :}

Son p’tit bonnet blanc, son tablier noir
Une croix pendue
En guise de sautoir
Lui donnaient une mine ingénue
Et d’vant ses grands yeux, ses grands yeux si bleus
J’m’écriai joyeux :
— Ah ! qu’elle est mignonne
La petite Bretonne !


Elle se r’tourna en souriant
Je l’abordai timid’ment :
— Permettez-moi d’vous offrir
Ce bouquet, ça m’f’ra plaisir
[Charlus : Ce bouquet, ça m' f'rait plaisir]
Je lui fis la cour
Lui jurant de l’adorer toujours
Enfin triomphant
Je l’emm’nai dans mon log'ment
Elle se fit prier, supplier
Et finit par s'déshabiller
[Charlus : Puis finit par s'déshabiller]

{Refrain :}

Sans son bonnet blanc, sans tablier noir
Sa p’tite croix pendue
Sur sa peau d’ivoire
Elle semblait encor plus ingénue
Et d’vant tant d’candeur, j’lui dis sincèrement :
— Je n’ose plus maint’nant
Tu es trop mignonne
Ma petite Bretonne !

Elle me répondit alors :
— Tu m’fais d’la peine, mon trésor
Penses-tu qu’je n’sais pas, chéri
C’que nous sommes venus faire ici ?
[Charlus : C' que l'on est v'nus faire ici?]
J' fus pendant trois ans
Étoile du demi-monde élégant
Mais maint’nant, vois-tu
Chapeaux, toilettes, ça n’rend plus
Les hommes sont dev’nus si vicieux
Il leur faut tous la p’tite fleur bleue

{Refrain :}

Et mon bonnet blanc, mon tablier noir
Et ma croix pendue
Ça, c’est pour les poires
Qui cherchent à s’offrir des ingénues
[Charlus : Qui veulent s'offrir des ingénues]
Tu vois comme travail si c’est réussi
Allons, sois gentil
Elle s’ra bien coch… mignonne
Ta petite Bretonne

Aucun autre transfert audio du même document, aucune face associée

Permalien : http://www.phonobase.org/4613.html

  Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil