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3643 résultats trouvés
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| Titre : | Le seul moyen, chansonnette bouffe |
| Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
| Genre : | Café-concert |
| Fichier audio : | |
| Photo(s) : |  |
| Support d'enregistrement : | Disque |
| Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
| Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
| Numéro de catalogue : | 36445 |
| Numéro de matrice : | xP2184 |
| Date de l'enregistrement : | 1905-1906 |
| Instruments : | orchestre acc. |
| État : | Exc++ |
| Vitesse (tours/minute) : | 70,2 |
| Matériel employé au transfert : | Stanton 150, SME-Clément, pointe 2,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6,5kHz : Cedar X declick, decrackle, dehiss |
| Date du transfert : | 06-07-2017 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Prénom : Isabelle |
| Texte du contenu : | Le seul moyen
Création : Paulus ??? - Musique : Félicien Vargues ??? - Éditeur : Répertoire Paulus, chez Félicien Vargues - Paris (1890) Charlus : J'adore une femme, un ange Cela peut paraître étrange Vous m'en voyez interloqué J'en suis complètement toqué Elle est jolie, elle est sage Et recèle en son corsage Derrière des voiles troublants Des nichons tout ronds, tout blancs Lorsque dans un bal Bonheur sans égal Je l'enlace, je me trouve mal Quand je la presse, presse, presse Je le confesse, fesse, fesse Je sens mon cœur qui bat J'en suis vraiment baba Ah ! qu'elle est belle Mon Isabelle Au Moulin de la Galette Tout près d'une gigolette Un jour, j'aperçois ma beauté Vite, je lui propose un thé Elle accepte, quel délice ! Poussant plus loin le caprice D'un geste ferme mais très doux Je l'assois sur mes genoux Puis sans hésiter Sans parlementer Pensant qu'elle ne peut résister... Je lui demande, mande, mande En contrebande, bande, bande Un baiser mais hélas ! Elle ne marche pas Quelle décence ! Quelle innocence ! Pour exciter ma compagne Je fais venir du champagne Me disant : Ce vin capiteux La rendra sensible à mes vœux Mais c'était une sottise Car c'est moi que le vin grise Et dans un transport furieux Je lui dis, roulant des yeux : Tu m'as emballé Même ensorcelé J'ai tant besoin d'être cajolé Ah ! viens donc vite, vite, vite Voir où j'habite, bite, bite Elle répond : Fourneau C'est du prix trop nouveau Ça c'est notoire pas pour ta poire |
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