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Titre :Quand y en a pour deux
Interprète(s) :Charlus [Louis-Napoléon Defer]
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
PhotoPhoto
Support d'enregistrement :Disque
Format :35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de double-face :2714
Numéro de catalogue :3589
Numéro de matrice :64684-RA-5-14+
Date de l'enregistrement :1911 ?
Instruments :orchestre acc.
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :88
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4k, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :30-11-2012
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Quand y en a pour deux

Création : Vaillant (1908 aux Concerts de Paris) - reprises : Paul Dalbret, Charlus

Paroles : Ferdinand-Louis Bénech, René Champigny - Musique : Désiré Berniaux


L'autr' jour, je passais sur le boul'vard
Lorsque je rencontrai par hasard
Un de mes amis d'enfance
Tiens ! c'est toi, mon vieux, quelle chance !
Y a tout d' même longtemps qu'on n' s'est pas vus
J' suis curieux d' savoir c' que t'es d'venu
Mais je suis pressé, viens donc
Déjeuner à la maison
Et, me rappelant d' sa timidité
Je dis pour le décider :

{Refrain :}
Quand y en pour deux, mon vieux, y en a pour trois
J' veux qu' tu fasses chez moi comme si t'étais chez toi
Tu le vois, c'est sans manière
Que je t'offre mon ordinaire
Un peu d' jambonneau avec deux œufs su' l' plat
Tu sais qu'entre amis on n'y regarde pas
Un petit bout d' plus, un p'tit bout d' moins
Dans l' ménage, on n'y voit rien

Il accepta mais, l' repas fini
Je n'en savais pas plus long sur lui
Car il ne causa qu'à peine
Ayant toujours la bouche pleine
Quand il s'en alla, j' lui dis : Mon vieux
Reviens donc un soir, on caus'ra mieux
I' m' dit : J' veux pas abuser
De ton hospitalité
Mais, chaque jour, chez moi il revint dîner
En disant pour s'excuser :

{Refrain :}
Quand y en pour deux, mon vieux, y en a pour trois
Et je fais chez toi comme si j'étais chez moi
Tu le vois, c'est sans manière
Que j' partage ton ordinaire
Un peu d' jambonneau avec deux œufs su' l' plat
Je sais qu'entre amis on n'y regarde pas
Un petit bout d' plus, un p'tit bout d' moins
Dans l' ménage, on n'y voit rien

Cela devenait une obsession
Mais heureus'ment qu'en compensation
Sa femme qu'était très jolie
Devint ma plus tendre amie
Et quand il s'absentait quelque jour
Elle m'offrait un menu d'amour
Lorsqu'un soir il nous surprit
Couchés tous deux dans son lit
Alors moi, voyant qu'il allait s' fâcher
Je lui dis sans sourciller :

{Refrain :}
Quand y en pour deux, mon vieux, y en a pour trois
Et je fais chez toi comme si j'étais chez moi
Tu le vois, c'est sans manière
Que j' partage ton ordinaire
J'ai des jambonneaux avec des œufs su' l' plat
Tu sais qu'entre amis on n'y regarde pas
Un petit bout d' plus, un p'tit bout d' moins
Dans l' ménage, on n'y voit rien


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