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Titre :Folichonnade
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Christiné, Henri ; Favart, Edgard
Interprète(s) :Mayol, Félix
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :17 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Zonophone international Company
Numéro de catalogue :11658
Date de l'enregistrement :1902-sept.-dec.
Instruments :piano acc.
État :Exc, faible
Vitesse (tours/minute) :86,7
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 3,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :15-06-2012
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. L'étiquette annonce : Folichonnades, simple histoire (chansonnette très grivoise)
Texte du contenu :Folichonnade

Création : Mayol (1902 à la Scala) - Paroles : Edgard Favart - Musique : Henri Christiné - Éditeur : Aux Répertoires Réunis


Mayol :

Près du bois de Boulogne lorsque je l'aperçus
Je n'osai lui parler quand, prenant le dessus
Je m'approchai pourtant, chapeau bas, la voix tendre
Mad’moiselle, lui dis-je ; elle n'eut pas l'air d'entendre
Elle allongea le pas, moi j'allongeai le mien
Elle devait se dire : Sapristi, comme ça l’tient
Puis, je recommençai lorsque la toute belle
M' dit : J'aperçois mon oncle. Ah ! laissez-moi, dit-elle
Et je vis un monsieur très chic et décoré
L'embrasser sur le front en l'appelant bébé

{Refrain :}
Comme l'on cueille une fleurette
Ce fut à peine une amourette
Un seul jour je fus son amant
Mais ce souvenir est charmant
Petits pieds, petites menottes
Elle avait de blanches quenottes
Qui croquèrent en un seul jour
Toute une éternité d'amour

Ce fut exquis, divin, mais, dit-elle en partant
Ah ! j'ai perdu ma bourse, me voilà sans argent
Je fus embarrassé, craignant lui faire injure
Je lui donnai cent francs pour prendre une voiture
Vous m'écrirez, dit-elle : initiales A. V. F.
V'nez dimanche à l'église, vous m’trouv’rez dans la nef
J'y suis allé vingt fois, jamais je ne l’ai vue
Quand hier vers minuit, au tournant d'une rue
Je l'aperçus causant à des filles de trottoir
Elle leur disait : Crois-tu ! ma chère, je n'ai rien fait ce soir

{Refrain :}
Comme se fane une fleurette
Ainsi finit mon amourette
Un seul jour je fus son amant
Mais cela m’a coûté cent francs
Car ça n’était qu’une cocotte
Elle avait de blanches quenottes
Qui croquèrent en fait d'amour
Mes économies de trente jours


----------------

Pellat :

Près du bois de Boulogne lorsque je l'aperçus
Je n'osai lui parler quand, prenant le dessus
Je m'approchai pourtant, chapeau bas, la voix tendre
Mademoiselle, lui dis-je ; elle n'eut pas l'air d'entendre
Elle allongeait le pas, moi j'allongeais le mien
Elle devait se dire : 'Pristi, comme ça le tient
Puis, je recommençai lorsque la toute belle
M' dit : J'aperçois mon oncle. Oh ! laissez-moi, dit-elle
Et je vis un monsieur très chic et décoré
L'embrasser sur le front en l'appelant bébé

{Refrain :}
Comme l'on cueille une fleurette
Ce fut à peine une amourette
Un seul jour je fus son amant
Mais ce souvenir est charmant
Petits pieds, petites menottes
Elle avait de blanches quenottes
Qui croquèrent en un seul jour
Toute une éternité d'amour

Ce fut exquis, divin, mais, dit-elle en partant
Ah ! j'ai perdu ma bourse, me voilà sans argent
Je fus embarrassé, craignant lui faire injure
Je lui donnai cent francs pour prendre une voiture
Vous m'écrirez, dit-elle : initiales A. V. F.
V'nez dimanche à l'église, vous m’trouv’rez dans la nef
J'y suis allé vingt fois, jamais je ne l’ai vue
Quand hier vers minuit, au tournant d'une rue
Je l'aperçus causant à des filles de trottoir
Elle leur disait : Crois-tu ! j' n'ai pas de veine ce soir

{Refrain :}
Comme se fane une fleurette
Ainsi finit mon amourette
Un seul jour je fus son amant
Mais cela m’a coûté cent francs
Petits pieds, petites menottes
Elle avait de blanches quenottes
Qui croquèrent en fait d'amour
Mes économies de trente jours


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