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Titre :Le hareng saur
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Cros, Charles
Interprète(s) :Galipaux, Félix
Genre :Monologue comique
Fichier audio :
Photo(s) :
PhotoPhoto
Support d'enregistrement :Disque
Format :27 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :APGA
Numéro de catalogue :1289
Date de l'enregistrement :1906
Instruments :Déclamation, diction, monologue
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :83,2
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 1,5ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :06-01-2014
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Le hareng saur


Création : Charles Cros (1872 au Quartier-Latin) - reprises : Coquelin cadet, Félix Galipaux

Paroles : Charles Cros - Musique : Cabaner - Éditeur : La Renaissance Littéraire et Artistique (1872) / Alphonse Lemerre, Paris (1873) et J. Gay et fils, Nice (1873) in Le coffret de santal


poème original :

Il était un grand mur blanc - nu, nu, nu,
Contre le mur une échelle - haute, haute, haute,
Et, par terre, un hareng saur - sec, sec, sec.

Il vient, tenant dans ses mains - sales, sales, sales,
Un marteau lourd, un grand clou - pointu, pointu, pointu,
Un peloton de ficelle - gros, gros, gros.

Alors il monte à l'échelle - haute, haute, haute,
Et plante le clou pointu - toc, toc, toc,
Tout en haut du grand mur blanc - nu, nu, nu.

Il laisse aller le marteau - qui tombe, qui tombe, qui tombe,
Attache au clou une ficelle - longue, longue, longue,
Et, au bout, le hareng saur - sec, sec, sec.

Il redescend de l'échelle - haute, haute, haute,
L'emporte avec le marteau - lourd, lourd, lourd,
Et puis, il s'en va ailleurs - loin, loin, loin.

Et, depuis, le hareng saur - sec, sec, sec,
Au bout de cette ficelle - longue, longue, longue,
Très lentement se balance - toujours toujours, toujours.

J'ai composé cette histoire - simple, simple, simple,
Pour mettre en fureur les gens - graves, graves, graves,
Et amuser les enfants - petits, petits, petits.

- - -

Version Galipaux :

Il était un grand mur blanc nu, nu, nu,
Par terre, un hareng saur sec, sec, sec,
Et contre le mur une échelle haute, haute, haute.

Il vient, tenant dans ses mains sales, sales, sales,
Un marteau lourd, un grand clou pointu, pointu, pointu,

Il monte en haut de l'échelle haute, haute, haute,
Et plante le clou pointu : toc, toc, toc !

Il attache une ficelle longue, longue, longue
Au clou pointu et, au bout, le hareng saur sec, sec, sec.

Il redescend de l'échelle haute, haute, haute,
Et s'en va loin, loin, loin,
Avec le marteau lourd, lourd, lourd,
Puis il disparaît bien loin, bien loin.

Et, depuis de temps, le hareng saur sec, sec, sec,
Tout au bout de la ficelle longue, longue, longue,
Très lentement se balance toujours toujours, toujours.

J'ai composé cette histoire simple, simple, simple,
Pour dérider les gens graves, graves, graves,
Et amuser les enfants petits, petits, petits.


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