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Titre :Les amours de Bridouille
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Delormel, Lucien ; Poncin, Eugène ; Briollet, Paul ; Mortreuil, Félix
Interprète(s) :Sulbac
Fichier audio :
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Support d'enregistrement :Disque
Format :27 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Odeon International talking machine Co.m.b.H.
Numéro de catalogue :33970
Numéro de matrice :P1135
Date de l'enregistrement :1905
État :Exc+
Vitesse (tours/minute) :82,8
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 1,75ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :13-10-2014
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Les amours de Bridouille

Paroles : Paul Briollet, Félix Mortreuil - Musique : Lucien Delormel, Eugène Poncin - Éditeur : [s.n.] 7 rue d'Enghien, Paris (1895)


Un jour, j' quittai mes parents, mon village
J' vins à Paris pour faire un riche mariage
Quand j'aperçus soudainement les traits
D'une jolie fille qui se promenait, nait, nait, nait, nait, néné !

En la voyant timide comme une gazelle
Je me disais : Sapristi, qu'elle est belle !
Je la suivis, lui f'sant d' l’œil en coulisse
Jusqu'à chez elle dans la rue Saint-Sulpice, pice, pice, pice, pice

Elle ôte ses gants, ses bijoux, sa voilette
Nous nous mettons à faire la causette
Je me sentais le cœur tout transporté
En admirant sa poitrine bien plantée, tée, tée, tée, tée, tété !

Je vous adore, que j' dis à la fillette
On s' mariera car j' suis un homme honnête
Comme je voulais l'embrasser tendrement
Elle pousse des cris dedans l'appartement, ment, ment, ment, ment, maman !
Ma pauvre mère !

Ensuite, elle dit : J'entends rentrer mon frère
Tout votre pognon il va vous le soustraire
Fichez tout d' suite et confiez-moi votre sac
Car c'est un homme qui n' manque pas d'estomac, mac, mac, mac, mac, mac, mac, mac, mac

Je lui confie aussitôt ma galette
Puis je me sauve, bousculant la pip'lette
Quand j' suis soudain mordu par son cabot
Alors viv'ment j' rentre dans les lavabos, bos, bos, bos, bos, bos, bobos !

Puis je m' dirige au poste de police
J' conte mon affaire au brigadier d' service
Il me répond : Moi, ça me r'garde pas
Je n' fourre jamais mon nez dans d' pareils cas, cas, cas, cas, cas, cas

J' rentre au village, tout confus de ma bourde
Papa me dit : Mon fils, tu n'es qu'une gourde
Mais console-toi car, espèce d'abruti
On aurait pu te faire encor bien pis, pis, pis, pis, pis, pis

Moralité :
Ô jeunes gens, j' vous l' dis parce que j'en cause
Si, dans Paris, les hommes sont un peu chose
À La Villette aussi bien qu'à Saint-Ouen
Les jolies filles là connaissent dans les coins, coins, coins, coins, coins

{Parlé :}
La chanson est finie. Au revoir, messieurs-dames, au revoir


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