Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
3 résultats trouvés
Titre : | Avec Madame Durand |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Bill, Jack ; Alcide |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 26 cm saphir étiquette (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 4801 |
Numéro de catalogue : | 2106 |
Inscriptions complémentaires : | 8-1-20 |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
État : | Exc+++ |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 2,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 06-04-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Maladie vénérienne, médecin |
Texte du contenu : | Avec Madame Durand
Paroles : Alcide - Musique : Jack Bill - Éditeur : Éditions Herpin, Paris (1915) / Édition Félix (Pour Félix Mayol), Paris (1915) Création : Jean Nelly (1915 au Cri-Cri) - reprises : Priolet, Elvell, Mayol, Charlus, etc... Un jeune méd'cin, pour se faire une clientèle Vint un jour à Jouy-sur-Lot Comme il était seul, il vit en ribambelle Les clients venir bientôt Le premier qui vint, ce fut le fils du maire Pour confier au jeune docteur Qu'il était atteint d'un malaise très vulgaire Que l'on cache par pudeur Le med'cin lui dit : Je vois, mon ami Que vous faites la noce, mais l' jeune homme répondit : {Refrain :} Je suis seul'ment l'amant d' madame Durand La femme du pharmacien d' la rue d' l’Église Je vous l' confie sous le sceau du serment Et je vous jure qu'elle n'a qu' moi pour amant Ne craignez rien, dit l' docteur, je comprends Et pour guérir, monsieur, il vous suffit D'aller porter cette ordonnance viv'ment Chez c' bon monsieur Durand Après lui vint un monsieur à l'air sévère Disant : Je suis l' juge de paix Je souffre d'un mal que je ne comprends guère Veuillez donc dire ce que c'est Le jeune méd'cin lui dit avec bonhomie : J'en conclus, mon cher monsieur Que vous êtes victime d'une épidémie Qui court ici depuis peu L'amour vous vaut ça Mais l' juge répliqua : Impossible, docteur, cela ne se peut pas ! {au Refrain} Chez le méd'cin pendant huit jours défilèrent L' garde champêtre, le cantonnier L'adjoint, l' percepteur, les gendarmes, le notaire Et l' capitaine des pompiers Quand un monsieur vint avec un air austère En disant : C'est épatant ! Il m'arrive une chose qui n'est pas ordinaire Je n' trompe pas ma femme pourtant Lorsque le docteur Lui dit, l'air moqueur N' faites pas l'innocent, allons, sacré farceur ! {Refrain :} Vous d'vez coucher avec madame Durand J' vois ça du premier coup sans qu'on me l' dise Dame ! Reprit l'autre, ça n'a rien d'étonnant Je n' fais qu' mon d'voir puisque c'est moi Durand Ah ! dit l' docteur, j' vous fais mes compliments Conv'nez, monsieur, qu' votre femme est exquise Car grâce à elle nous f'rons fortune sûr'ment Mon cher monsieur Durand |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |