Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil  

   
Titre :
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :
Interprète(s) :
Genre :
Année d'enregistrement :
Instruments :
Marque de fabrique, label :
Format :
   
Retour au tableau des résultats

99 résultats trouvés

Précédent 1 3 51 99 Suite droite

 
Titre :Les Cloches de Corneville ; chanson des cloches : nous avons hélas perdu d'excellents maîtres
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Planquette, Robert ; Clairville [Louis-François-Marie Nicolaïe] ; Gabet, Charles
Interprète(s) :Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s)
Genre :Opéra-comique
Fichier audio :
Photo(s) :
PhotoPhoto
Photo
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Marque de fabrique, label :[Marque ou fabricant non identifié]
Instruments :soliste orchestre et choeurs
État :Exc+, moisissure cyclique
Vitesse (tours/minute) :135
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe Pathé sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat
Date du transfert :17-12-2020
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Les cloches de Corneville ; nous avons hélas perdu d'excellents maîtres (chanson des cloches)

Création : Conchita Gélabert (1877 au Théâtre des Folies-Dramatiques) - Paroles : Louis Clairville, Charles Gabet - Musique : Robert Planquette


Mary Boyer ?

Nous avons, hélas, perdu d'excellents maîtres
Et les revenants qui troublent notre esprit
De nos bons seigneurs sont les nobles ancêtres
Qui dans le château ressuscitent la nuit
Ils voudraient revoir leurs héritiers peut-être
Et quand de l'exil nos maîtres reviendront
Par un revenant de garde à la fenêtre
On dit qu'à l'instant les cloches sonneront
On dit qu'à l'instant les cloches sonneront

Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne, sonne sonne donc
Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne donc, joyeux carillon

Il ne sonnait pas aux jours de nos défaites
Il ne sonnait pas dans les temps malheureux
Mais comme il sonnait aux jours de grandes fêtes
Ou quand s'unissaient deux jeunes amoureux !
Depuis qu'il se tait, la ville est moins joyeuse
Depuis qu'il se tait s'éloignent les amours
Ce château nous cause une frayeur affreuse
Et voilà pourquoi nous répétons toujours
Et voilà pourquoi nous répétons toujours :

Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne, sonne, sonne donc
Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne donc, joyeux carillon

Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne, sonne, sonne donc
Digue digue digue digue diguedon
Sonne, sonne, sonne donc, joyeux carillon


Aucun autre transfert audio du même document, aucune face associée

Permalien : http://www.phonobase.org/13070.html

  Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil