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22 résultats trouvés
Titre : | Tyrolienomanie |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Pourny, Charles ; Marcel, Louis |
Interprète(s) : | Bergeret, Léonce |
Genre : | Café-concert : tyrolienne |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 17 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Berliners' Gramophone |
Numéro de catalogue : | 32852 |
Numéro de matrice : | _159 |
Date de l'enregistrement : | 1900-08-16 |
Instruments : | piano acc. |
État : | Exc+, sature |
Vitesse (tours/minute) : | 68 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 4,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4,5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 28-03-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Tyrolienomanie
Création : Velly : Tyroliennomanie (vers 1888 à l'Eldorado) - Paroles : Louis Marcel - Musique : Charles Fourny - Éditeur : Ambroise Bassereau, Victor Puigellier - Paris Bergeret sur Pathé Quand certains hommes sont sans argent Ils s'en vont courant par la ville Cherchant un ami complaisant Pour leur prêter un billet d' mille Puis, saluant d'un air bon garçon Ils vous disent sans cérémonie : J' suis v'nu t' trouver sans façon M'obliger c'est m' sauver la vie Et alors, vous… Vous vous fouillez Et vous prêtez En f'sant un nez L'ami content Prenant l'argent Fait en sortant… Méfiez-vous quand sur l' boul'vard Une femme à la taille fine En se promenant sur le tard Vous montre sa jolie bottine Les jeunes gens se laissent pincer toujours Comme à l'étalage d'une vieille boutique Seuls les vieux connaissent les jours Y a pas moyen d' leur faire la nique Ils vous disent : La nuit Les chats sont gris On est grinchi Mais au grand jour Y a plus d'amour C'est un rude cours Un d' mes amis m' présente un jour Pour l'hymen à mam'zelle Marie Et le lend'main j'étais fou d'amour Bref, nous allons à la mairie Ma femme, un joli p'tit tendron Avait un opulent corsage J' croyais voir du monde au balcon Mais, pristi ! l' soir au déballage… Elle ôte ses ch'veux Ses dents, ses yeux Vrai, c'est affreux Voyez l' tableau Hors du fourreau Y restait qu' la peau |
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