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Titre :	Une pointe de champagne
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Fragson, Harry ; Saint-Marcel
Interprète(s) :	Maréchal, André
Genre :	Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	Cylindre
Format :	Standard (enregistrement acoustique)
Marque de fabrique, label :	Edison
Numéro de catalogue :	17279
Date de l'enregistrement :	1904
Instruments :	chant homme, orchestre acc.
État :	Exc
Vitesse (tours/minute) :	160
Matériel employé au transfert :	Archéophone, pointe Edison sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat
Date du transfert :	09-11-2021
Commentaires :	Texte du contenu ci-dessous. Collection famille Chanal, cylindre apporté par Agnès Unterberger
Texte du contenu :	Une pointe de champagne Paroles : Saint-Marcel - Musique : Fragson - Éditeur : Patay - Paris Fragson : Aux noces d'or de mon grand-père L’on avait mis à mon côté Une jeune et franche commère Éblouissante de beauté Elle avait des dents sans pareilles Des yeux à réchauffer l’hiver Emballé par tant de merveilles Je lui balbutiais au dessert : {Refrain :} Allons, une pointe de champagne, Glou, glou, glou, glou, glou, glou, L’on dit qu’ça rend très folichon, Glou, glou, glou, glou, glou, glou, Et si nous battons la campagne, Glou, glou, glou, glou, glou, glou, Tant mieux, ça sera drôlichon, Bah ! trinquons donc, mam’zelle Nichon Quand nous fêterons notre cinquantaine Jeunes d’esprit et gais de cœur Nous voulons, promesse certaine Qu’on éternise notre bonheur Et qu’notre génération future Imite à la Saint-Boute-en-train Les rossignols de la ramure En gazouillant c’léger refrain : {au Refrain} ----------------- Maréchal : Aux noces d'or de mon grand-père L’on avait mis à mon côté Une jeune et franche commère Éblouissante de beauté Elle avait des dents sans pareilles Des yeux à réchauffer l’hiver Emballé par tant de merveilles Je lui balbutiais au dessert : {Refrain :} Allons, une pointe de champagne, Glou, glou, glou, glou, glou, glou, L’on dit qu’ça rend très folichon, Glou, glou, glou, glou, glou, glou, Et si nous battons la campagne, Glou, glou, glou, glou, glou, glou, Tant mieux, ce sera drôlichon, Bah ! trinquons donc, mam’zelle Nichon Près d’elle toute la soirée Je fus superbe et rayonnant Je pressais sa taille de fée Amoureusement en valsant Je murmurais : Je vous adore On n’est pas d’bois près d’votre corset Et je lui redisais encore En la conduisant au buffet : {au Refrain}