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Titre :Les chevaliers du guet, duo bouffe
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Teste, Auguste ; Moiroud, F. ; Min, Henri
Interprète(s) :Charlus [Louis-Napoléon Defer] ; Maréchal, André
Genre :Café-concert - opérette - duo bouffe
Fichier audio :
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Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Edison
Numéro de catalogue :17643
Date de l'enregistrement :1906
Instruments :chant et dialogue hommes, orchestre acc.
État :usé, rayé, monté
Vitesse (tours/minute) :160
Matériel employé au transfert :Archéophone, pointe 2min sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat
Date du transfert :23-03-2021
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Gendarmes, gendarmerie. Partition sur https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1191331s/f2.item
Texte du contenu :Les chevaliers du guet

Création : Ferdinand Villé et Limat (1885)

Reprises : Les frères Gémon (1885à l'Eldorado), Les Magrons (1885 à l'Horloge), Spada et Lurine (1885), Louis Bénézit et Teste (185), Les Léon (1890), Ludovic et Fi-lis (1890 au Bar de la Renaissance), Vanille et Brun (1896), Charlus et Maréchal (1906)

Paroles : Henrin Min, F. Moiroud - Musique : Auguste Teste - Éditeur : Émile Benoit, Paris (1885)


La partition :
-----------------------

{Refrain, duo :}
Nous somm's les chevaliers du guet
Au nez à flairer toujours prêt
Nous rassurons
Nous protégeons
Nous défendons
Tous les gens bons
Toujours par voie et par chemin
Le jour, le soir et le matin
Nous poursuivons
Les vagabonds
Et nous les flanquons
Sans façon, au violon, ron !

- Gardien des familles tranquill's
L’oreille au guet, l’œil aux abois
- L’œil aux abois
- Par les campagnes et par les vill's
On nous rencontre quelquefois
- Mêm' dans les bois
- Les habitants peuvent sans craint'
Vaquer le jour, dormir la nuit
- Ronfler la nuit
- Grâce à nous, jamais une plaint'
Qu'il soit midi, qu'il soit minuit
- Déjà minuit

{Parlé :}
- Fusillier Laridel ?
- Sergent Poupardin ?
- Tout va bien ?
- Tout va bien... seulement...
- Seulement quoi
- Rien
- Rien ?
- Rien
- Alors tout le monde peut dormir tranquille ?
- Oui, sergent
- Mais pourquoi ?
- Mais parce que...

{au Refrain}

- Nous n'nous mêlons pas d'politique
Ça fait trop faire des faux pas
- Et n'en faut pas
- Nous veillons sur la paix publique !
Le rest' ne nous occupe pas
- Entre nos r'pas
- Mais s'il survient une bagarre
Où nous n'serions pas les plus forts
- Sans faire d'effort
- Nous nous hâtons sans crier gare
Pour n'êtr' pas d'dans, d'rester dehors
- Par esprit d'corps

{Parlé :}
- Fusillier Laridel ?
- Sergent Poupardin ?
- Quoi c'est donc qu'on dirait qu'on voit là-bas de rouge ?
- Ce serait peut-être bien le feu
- Ça regarde les pompiers alors
- Allons chercher les pompiers
- Attendons pour voir si ça prendra de l'extension ?
- Attendons l'extension du feu
- Le premier étage il brûle !
- Le second aussi !
- Ça monte au troisième !
- Ça va quatre à quatre !
- Le cinquième est pris !
- La maison elle est brûlée
- Alors, inutile d'aller déranger les pompiers ?
- Non, puisque ça a brûlé sans eux… pourtant…
- Pourtant quoi ?
- Rien
- Rien ?
- Rien
- Alors maintenant les pompiers peuvent dormir tranquilles ?
- Oui, sergent
- Mais pourquoi ?
- Mais… parce que…

{au Refrain}

- Nous avons une forte poigne
Dont nous nous servons assez bien
- Par ce moyen
- Jamais de danger qu'on s'éloigne
Quand nous tenons, nous tenons bien
- Cré nom d'un chien !
- Nous n'connaissons que la consigne
On ne nous fait jamais droguer
- Pour nous narguer !
- Toujours marchant en droite ligne
Avec nous il ne faut pas blaguer
- Ni zig-zag-guer

{Parlé :}
- Fusillier Laridel ?
- Sergent Poupardin ?
- Voilà z'une femme qui vient de se précipiter à la rivière si je ne m'abuse
- Ah ! buse
- Il y a de l'écho z'ici !
- Sergent Poupardin, c'est la rivière
- La rivière et pourquoi
- Parce que la rivière n'est qu'eau
- Vous êtes un imbécile et je suis votre supérieur
- Oui, sergent
- Cette femme est toujours occupée à se noyer, si nous volions à son secours ?
- C'est ça, volons !
- Ah ! vous volez, je vous arrête
- Arrêtons-nous
- Tiens, pendant que nous causions, la femme a disparute, c'est qu'elle est noyée
- Elle est noyée
- Alors nous arriverions trop tard ?
- Oui, sergent... cependant...
- Cependant... quoi
- Rien
- Rien ?
- Rien
- Alors la rivière peut dormir tranquille ?
- Oui, sergent
- Mais pourquoi ?
- Mais... parce que...

{au Refrain}

- Mais il faut nous voir le dimanche
C'est comme un vrai bouquet de fleurs
- Plein de senteurs !
- Astiqués, le poing sur la hanche
Nous devenons de tous les cœurs
- Les séducteurs !
- Alors faut voir les cuisinières
Dans le square ou dans le jardin
- Près du bassin
- Nous lancer des flèch's meurtrières
De leur grand p'tit œil assassin
- En plein dans l'sein

{Parlé :}
- Fusillier Laridel ?
- Sergent Poupardin ?
Je trouve que nous sommes trop beaux
Moi aussi
Que nous portons la perturbation dans les cœurs
Moi aussi
Que les maris ont parfois mauvaise tête
Moi aussi
Et qu'il faut les respecter
Moi aussi
Comment vous aussi ?
Non, il faut respecter les têtes des maris
Il y a a aussi de jolies femmes libres
Moi aussi
Vous... vous avez encore trois ans à faire
Mais...
Mais quoi ?
Rien
Rien ?
Rien
Alors les jolies femmes peuvent dormir tranquilles ?
Oui, sergent
Mais pourquoi ?
Mais parce que...

{au Refrain}


---------------------------



Charlus et Maréchal :
-------------------------

- Gardiens des familles tranquilles
L’oreille au guet, l’œil aux abois
- L’œil aux abois
- Par les campagnes et par les villes
On nous rencontre quelquefois
- Même dans les bois
- Les habitants peuvent sans crainte
Vaquer le jour, dormir la nuit
- Ronfler la nuit
- Grâce à nous, jamais une plainte
Qu'il soit midi, qu'il soit minuit
- Déjà minuit

{Parlé :}
- Fusilier Laridel
- Sergent Poupardin ?
- Quoi c'est donc qu'on dirait qu'on voit là-bas de rouge ?
- Hé… ce serait peut-être bien le feu
- Ça regarde les pompiers z'alors
- Allons chercher les pompiers
- Attendons, attendons, pour voir si ça prendra de l'extension
- Attendons l'extension du feu
- Le premier étage, i' brûle…
- Le second aussi
- Ça monte z'au troisième
- Hé… ça va quatre à quatre
- Et le cinquième, elle est prise
- Ah, la maison elle est brûlée…
- Alors, inutile d'aller déranger les pompiers
- Ah ah ah non, puisque ça a brûlé sans eux… Pourtant…
- Pourtant quoi ?
- Rien
- Rien !
- Rien
- Rien… alors maintenant les pompiers peuvent dormir tranquilles
- Ben oui, sergent
- Mais pourquoi ?
- Mais… parce que…

{duo, chanté :}
Nous sommes les chevaliers du guet
Au nez à flairer toujours prêt
Nous rassurons, nous protégeons
Nous défendons tous les gens bons
Toujours par voie et par chemin
Toujours le soir et le matin
Nous poursuivons les vagabonds
Et nous les jetons sans façon au violon
Rron !



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