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Titre : | Le terrible méridional |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Ganne, Louis ; Delormel, Lucien ; Garnier, Léon |
Interprète(s) : | Lack, Paul [Léopold Postieau] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Zonophone (Gramophone) |
Numéro de catalogue : | x-82967 |
Numéro de matrice : | 14270u |
Date de l'enregistrement : | 1909-01-20 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012 |
Date du transfert : | 19-05-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Le terrible méridional
Création : Paulus (1888) - reprises : Bravo (1889), Maréchal (vers 1898), Charlus, Paul Lack (1909) Paroles : Lucien Delormel, Léon Garnier - Musique : Louis Ganne - Éditeur : [s.n.] 7, rue d'Enghien, Paris(1888) C’est moi le terrible Faouette [Paul Lack : C'est moi le fameux Cacahuète] L’homme le plus fort du Midi Rien qu’avec une pichenette J’assomme un bœuf ! c’est inouï ! Quand je suis d’humeur bataillarde Que j’entends un propos douteux Si l’individu me regarde Avec un air d’en avoir deux Je lui flanque un revers de main Un coup de tête, un coup de poing Un coup de soulier, un grand coup de pied Je le prends par le pan de sa jaquette Et vlan ! je l’aplatis comme une galette En Italie, l’année dernière Une nuit que je voyageais Je fus attaqué, troun de l’air ! Par quinze brigands calabrais Ils voulaient me couper en tranches À l’aide de leurs coutelas Tant pis, je retrousse mes manches Et d’un bond, sautant dans le tas Je leur flanque un revers de main Un coup de tête, un coup de poing Un coup de soulier, un grand coup de pied Je prends le chef par sa jaquette Et vlan ! je l’aplatis comme une raquette Me promenant en Algérie Dedans une sombre forêt Je vois, au bord d’une prairie Un lion qui me regardait Il avait six mètres de taille Et trois de large, le mâtin Kézako, lui dis-je, canaille ! Tu veux me barrer le chemin ? Je lui flanque un revers de main Un coup de tête, un coup de poing Un coup de soulier, un grand coup de pied Je le prends par le pan de sa jaquette Et vlan ! je l’aplatis comme une mauviette [Paul Lack : Et vlan ! je l'aplatis comme une omelette] {couplet et refrain supplémentaires chez Paul Lack :} J'étais un soir près de la femme D'un capitaine de turcos Le mari rentre et dans ce drame Je reçus son pied dans le dos Comme je m'occupe pas des choses Qui se passent derrière moi J'ai décampé pour maintes causes Mais si jamais je le revois… Je lui flanque un revers de main Un coup de tête, un coup de poing Un coup de soulier, un grand coup de pied Je le prends par le pan de sa jaquette Et vlan ! je le boulotte en vinaigrette ! |
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