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Titre :Amoureux sauvetage
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Berniaux, Désiré ; Bénech, Ferdinand-Louis
Interprète(s) :Mayol, Félix
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :21 cm saphir (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de double-face :2304
Numéro de catalogue :4046
Numéro de matrice :4046-R
Inscriptions complémentaires :54
État :montage
Vitesse (tours/minute) :78
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 3k, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :01-10-2012
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Deux suicidaires se rencontrent dans la Seine et tombent amoureux. Suicide, rencontre, amour, grivois
Texte du contenu :Amoureux sauvetage

Création : Mayol (1908) - reprises : Fréhel (1908), Paul Lack (1909), Jean Péheu (1909), Paul Dalbret (1909), Charlus

Paroles : Ferdinand-Louis Bénech - Musique : Désiré Berniaux - Éditeur : Mayol


Version Mayol :

C'était un jeune homme très amoureux
Mais qui n'était pas heureux
Et pour y noyer sa peine
Il alla s' fiche dans la Seine
Mais voilà qu'au même instant, il vit
Une femme qui faisait comme lui
Et pour sauver la d'moiselle
Il s' mit à nager vers elle
Elle lui dit "Monsieur, c'est égal
Excusez-moi d' vous donner tant d' mal !"

"Y a pas d' mal à ça, mam'zelle,
Moi, c'est la même chose que vous !"
Dit l' jeune homme à la d'moiselle
Qui le saisit par le cou
Ils allaient s' noyer sur place
L' jeune homme dit en s'enfonçant
"Pour une fois qu'une femme m'enlace
J'ai pas d' veine, assurément !"

Heureus'ment pour eux qu'il arriva
Un bateau qui les sauva
Aussitôt, on déshabille
Le jeune homme et la jeune fille
Ils étaient tous deux complèt'ment nus
Comme deux petits Jésus
Et quand enfin la d'moiselle
Finit par r'venir à elle
En s' voyant comme ça, elle lui dit
"Excusez-moi de m' montrer ainsi"

"Y a pas d' mal à ça, mam'zelle,
Moi, c'est la même chose que vous !"
Dit l' jeune homme à la d'moiselle
En rougissant malgré tout
Car, la voyant si jolie
Avec ses grands yeux si doux,
L' jeune homme n'avait plus envie
Maint'nant de mourir du tout

Il lui dit "D'abord, faut qu' vous m' juriez
De ne pas recommencer !"
Prenant le bras de la belle
Il la ramena chez elle
Et comme il venait la voir chaque jour
N'osant lui parler d'amour
Ce fut la jeune fille elle-même
Qui lui dit tout bas "J' vous aime"
Puis elle ajouta "C'est égal
Monsieur, vous allez m' juger bien mal !"

"Y a pas d' mal à ça, mam'zelle,
Moi, c'est la même chose que vous !"
Dit l' jeune homme à la d'moiselle
En l'embrassant comme un fou
V'là comment dans leur déveine
La d'moiselle et son sauveur
S'étant jetés dans la Seine
Nagèrent enfin dans l' bonheur !


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Version Jean Péheu :

C'était un jeune homme très amoureux
Mais qui n'était pas heureux
Et pour y noyer sa peine
Il alla s' fiche à la Seine
Mais voilà qu'au même instant, il vit
Une femme qui faisait comme lui
Et pour sauver la d'moiselle
Il s' mit à nager vers elle
Elle lui dit "Monsieur, c'est égal
Excusez-moi d' vous donner tant d' mal !"

"Y a pas d' mal à ça, mam'zelle,
Moi, c'est la même chose que vous !"
Dit l' jeune homme à la d'moiselle
Qui le saisit par le cou
Ils allaient s' noyer sur place
L' jeune homme dit en s'enfonçant
"Pour une fois qu'une femme m'enlace
J' n'ai pas d' chance assurément"

Heureus'ment pour eux qu'il arriva
Un bateau qui les sauva
Aussitôt, on déshabille
Le jeune homme et la jeune fille
Ils étaient tous deux complèt'ment nus
Comme deux petits Jésus
Quand enfin la demoiselle
Finit par rev'nir à elle
En s' voyant comme ça, elle lui dit
"Excusez-moi d' me montrer ainsi"

"Y a pas d' mal à ça, mam'zelle,
Moi, c'est la même chose que vous !"
Dit l' jeune homme à la d'moiselle
En rougissant malgré tout
Car, la voyant si jolie
Avec ses grands yeux si doux,
L' jeune homme n'avait plus envie
Maintenant d' mourir du tout

Il lui dit "D'abord, faut qu' vous m' juriez
De ne pas recommencer !"
Prenant le bras de la belle
Il la ramena chez elle
Mais comme il venait la voir chaque jour
Et n'osait parler d'amour
Ce fut la jeune fille elle-même
Qui lui dit un soir "J' vous aime"
Puis elle ajouta "C'est égal
Monsieur, vous allez m' juger bien mal !"

"Y a pas d' mal à ça, mam'zelle,
Moi, c'est la même chose que vous !"
Dit l' jeune homme à la d'moiselle
En l'embrassant comme un fou
V'là comment dans leur déveine
La d'moiselle et son sauveur
S'étant jetés dans la Seine
Nagèrent enfin dans l' bonheur !


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