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Titre :La fifille à sa mère
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Marinier, Paul
Interprète(s) :Mayol, Félix
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :27 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :CIP - Compagnie Internationale Phonique
Numéro de catalogue :1180
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :89,8
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Decca, passe-bas 4kHz, Cedar X declick
Date du transfert :03-11-2013
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Matrice APGA. Allusion à Arthur Rubinstein, Ernest Reyer, Mademoiselle Abéma
Texte du contenu :La fifille à sa mère

Création : Mayol (1905) - Paroles et musique : Paul Marinier - Éditeur : Aux succès du XXe Siècle

Ci-dessous, versions chantées par Mayol, puis par Charlus :

Mayol sur CIP 1180 :

Un peu partout, on rencontre à la ronde
Ce typ' charmant, ô combien !
De la p'tite jeune fille très bien
Qu'elle soit brune, rousse, châtaine ou blonde
C'est moralement
Toujours l'même signalement
Des siens elle fait la joie
Elle a des vertus à foison
Et la candeur d'une oie
C'est le bonheur de la maison.

Elle ne sort jamais
Sans sa famille entière
Papa, maman
Tout l'tremblement
La fifille à sa mère
Elle s'en va candide
Baissant les yeux
Car c'est très laid
Jeunes ou vieux
De r'garder les messieurs.

Elle possède tout c'qu'il faut pour qu'on l'aime
Toutes sortes d'arts d'agréments
La fifille à sa maman
Elle joue comme Rubinstein(e) lui-même
De l'instrument cher
A c'bon Monsieur Reyer
Aussi dans chaqu' soirée
Elle y va de son grand morceau
Toujours de longue durée
Tant plus qu'c'est long, tant plus qu'c'est beau.

Elle exécute des sonates tout entières
Deguelando
Emmerlando
La fifille à sa mère
Et c'est si beau
Que lorsqu'alangando
Elle fait ré ré sur le piano
Tous les autres font dodo.

Elle fait aussi de façon fort gentille
D'la peinture à l'huile, oui-da
Comme mademoiselle Abbema
De l'aquarelle (Aquarell' les jeunes filles)
Et des bouquets d'fleurs
De toutes les couleurs
Elle a fait entre autres choses
L'portrait d' sa mère, un vrai amour
C'est beau, c'est blanc, c'est rose
Il n'manque plus qu' du persil autour.

C'est étonnant vraiment tout ce qu'elle sait faire
De la brod'rie
D'la tapiss'rie
La fifille à sa mère
Elle a orné l'paravent et surtout
Brodé l'paletot du p'tit toutou
Et tapissé partout.

Elle a grandi et s'lon la loi commune
Quand arrive le printemps
Elle rêve et soupire tout l'temps
Et le soir venu, quand elle regarde la lune
Sans savoir pourquoi
Elle a l'âme en émoi
Elle sent comme un fluide
Des p'tits frissons qui la font pâmer
Et dans son cœur un vide
Un p'tit vide qu'il faudra combler.

[Aussi on la marie]

Et le soir d'la noce
Le marié plein de mystère
Emporte alors
Comme un trésor
La fifille à sa mère
Pendant qu'il croit lui prendre sa vertu
Elle pense : Turlututu…
D'puis longtemps je ne l'ai plus !


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Charlus sur cylindre Pathé :

Un peu partout, on admire à la ronde
Ce typ' charmant, ô combien !
De la p'tite jeune fille très bien
Qu'elle soit brune, rousse, châtaine ou blonde
C'est moralement
Le même signalement
Des siens elle fait la joie
Elle a des vertus à foison
Et la candeur d'une oie
C'est le bonheur de la maison

Elle ne sort jamais
Sans sa famille entière
Papa, maman
Tout l'tremblement
La fifille à sa mère
Elle s'en va candide, baissant les yeux
Car c'est très laid
Jeunes ou vieux
D'regarder les messieurs

Puis, un beau soir, on la conduit dans l'monde
Elle arbore avec fierté
Son premier p'tit décoll'té
Elle montre au bal sa p'tit'peau rose ou blonde
L' décoll'té moral
C'est vraiment d'la peau d'balle
Elle est un peu limande
C'est comme chez le boucher, parbleu
On n'a pas beaucoup d'viande
Mais des os autant qu'on en veut

Elle se trémouss', sautillante et légère
Ses p'tits appas
Marquant le pas
La fifille à sa mère
Et semble dire quand on veut l'approcher :
R'gardez si ça vous fait loucher
Mais faut pas y toucher.

Elle a grandi et s'lon la loi commune
Quand arrive le printemps
Elle rêve et soupire tout l'temps
Et le soir venu, quand elle regarde la lune
Sans savoir pourquoi
Elle a l'âme en émoi
Elle ressent comme un fluide
Des p'tits frissons qui la font trembler
Et dans son cœur un vide
Un p'tit vide qu'il faudrait combler.

[Pauvr' bébé]

Et ça la fait rêver
D'entendre, ma chère
Les gros matous
Qui font miaou
La fifille à sa mère
Les gros toutous qui saluent par derrière
Et les oiseaux qui dans l' ciel clair
Font pipi (??) en l'air


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