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Titre :Elle était souriante, complainte tragico-comique
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Georges, Raoul ; Dufleuve [Edmond Bouchaud]
Interprète(s) :Lack, Paul [Léopold Postieau]
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Disque
Format :25 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Zonophone (Gramophone)
Numéro de catalogue :x-82938III
Numéro de matrice :14219u
Date de l'enregistrement :1908-12-28
Instruments :orchestre acc.
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :72
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :27-05-2011
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Effet comique construit sur le même modèle que cet autre titre : Un drame chez le coiffeur. Châtelaine, enlevée par des romanichels. Même matrice sur Victor 63037 B.
Texte du contenu :Elle était souriante


Création : Montel (1908 à l'Eldorado) - reprises : Dufleuve, Lacerpète, Paul Lack, Polin, Mansuelle, Les Darbon-Nodard, Croidel, Boissier, Jean Péheu

Paroles : Edmond Bouchaud dit Dufleuve - Musique : Raoul Georges - Éditeur : Marcel Labbé, Paris


Paul Lack :

Un jour, une petite chatelai-ai-ne
Enl'vée par des romanichels
Fut mise dans une chambre malsaine
Tout en haut d'la rue Saint-Michel
La p'tite au caractère rieur
Prit joyeusement son malheur

Le lendemain, elle était souriante
À sa fenêtre fleurie chaque soir
Elle arrosait ses petites fleurs grimpan-an-antes
Avec de l'eau de son p'tit arrosoir.

Les brigands, furieux de la voir ri-i-re
Lui attachèrent les mains, les pieds
Puis par ses cheveux la pendi-i-rent
Au plafond, en face du plancher
Puis, la laissant là, les voyous
Allèrent chez l'bistro boire un coup

{Refrain :}
Le lendemain, elle était souriante
À sa fenêtre fleurie chaque soir
Elle arrosait ses petites fleurs grimpan-an-antes
Avec de l'eau de son arrose-zoir.

Les bandits, jaloux d'son coura-a-ge
La prennent comme un diplodocus
La jettent du vingt-troisième éta-a-ge
Son corps tomba d'vant l'autobus
L'autobus qui n'attendait qu'ça
Sur la belle aussitôt passa

{Au refrain}

Mais les criminels s'acharnè-è-rent
Sur elle à coups d'pieds, à coups d'poings
De mille coups d'poignard la lardè-è-rent
Pour lui faire passer l'goût du pain
Et pour en finir, les ch'napans
Ils la noyèrent dans l'océan

{Au refrain}

----------------------

Jean Péheu :

Un jour, une petite chatelai-ai-ne
Enl'vée par des romanichels
Fut mise dans une chambre malsaine
Tout en haut d'la rue Saint-Michel
La p'tite au caractère rieur
Prit joyeusement son malheur

{Refrain}
Le lendemain, elle était souriante
À sa fenêtre fleurie chaque soir
Elle arrosait ses petites fleurs grimpan-an-antes
Avec de l'eau de son arrose-zoir.

Les brigands, furieux de la voir ri-i-re
Lui attachèrent les mains, les pieds
Puis par ses cheveux la pendi-i-rent
Au plafond, en face du plancher
Puis, la laissant là, les voyous
Allèrent chez l'bistro boire un coup

{au Refrain}

Mais les assassins s'acharnè-è-rent
Sur elle à coups d'pieds, à coups d'poings
De mille coups d'poignard la lardè-è-rent
Pour lui faire passer l'goût du pain
Et pour en finir, les ch'napans
Ils la noyèrent dans l'océan

{Au refrain}


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