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Titre :	Garde ton coeur Madeleine
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Georges, Raoul ; Will ; Bouchaud, Edmond
Interprète(s) :	Stradel
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	Disque
Format :	25 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :	Paris, France
Marque de fabrique, label :	Gramophone
Numéro de catalogue :	232317
Numéro de matrice :	5319-1/2h
Date de l'enregistrement :	1907
Instruments :	orchestre acc.
État :	Exc++
Vitesse (tours/minute) :	78,5
Matériel employé au transfert :	Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, 6kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :	21-05-2011
Commentaires :	Texte du contenu ci-dessous. Chanson parodiée par Paul Lack dans 'Panouille en soirée'.
Texte du contenu :	Garde ton coeur Madeleine Création : Jean Flor à Parisiana, Marjal au Concert Parisien, Yvonne Yma à la Ciagel, Liane d'Esty à Ba-ta-clan, Esther Lekain - reprises : Anna Thibaud, Karl Ditan, Stradel, Bérard, Carvey, Paul Dalbret, Mercadier, Montel, Raoul Saint-Yves... Paroles : Will, Edmond Bouchaud - Musique : Raoul Georges - Éditeur : Labbé (1907) Stradel : Aux jeunes gens du quartier latin La blanchisseuse Madeleine Portait le dimanche matin Le linge blanc de la semaine À l'atelier, sa grande sœur Qu'avait souffert d'être amoureuse [Paul Dalbret : Ayant souffert d'être amoureuse] D'une voix triste et douloureuse La conseillait avec douceur : N'en fais pas à ta tête, folle Prends garde, la vertu s'envole {Refrain :} L'amour est menteur, garde ton cœur Garde-le, ma jolie Madeleine Si tu le donnais, tu souffrirais À l'amour ne le livre jamais Quand tout est fini, l' bonheur s'enfuit L'abandon, ça cause tant de peine L'amour est menteur Garde ton cœur Garde-le ! Garde-le, Madeleine ! Par un dimanche de printemps Portant son linge à domicile Elle fut par un jeune étudiant Flattée d'une manière habile Un moment elle voulut s'enfuir Mais sa parole était si tendre Que ne sachant plus se défendre Elle se soumit à son désir Pourtant bercée comme en un rêve Une voix lui disait sans trêve {au Refrain}