Recherche tout champRecherche avancéeNouvelle recherche Page d'accueil  

Tout champ :
   
Retour au tableau des résultats

24 résultats trouvés

Précédent 1 11 24 Suite droite

 
Titre :La Walkyrie ; plus d'hiver, déjà le printemps s'élance [chanson du printemps – chant d'amour de Siegmund]
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Wagner, Richard ; Wilder, Victor
Interprète(s) :Rousselière, Charles
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Disque
Format :25 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Gramophone and Typewriter
Numéro de catalogue :GC-2-32845
Numéro de matrice :1816f-I
Date de l'enregistrement :1903
Instruments :piano acc.
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :80,4
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :21-05-2012
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :
Chant d'amour de La Walkyrie,
chanté par Monsieur Van Dyck de l'opéra

[Acte I scène 3]

Plus d'hiver, déjà le printemps commence
Semant au ciel l'or et le saphir
Le jeune Avril vers nous s'avance
Bercé sur l'aile du zéphyr
Dans l'air plus doux, plus clair et pur,
Je vois s'ouvrir son œil [ses yeux] d'azur

Un chaste arôme,un vrai parfum s'élève
Des bois remplis d'oiseau siffleurs
Partout déjà le flot fécondant de la sève,
Fait jaillir des gerbes de fleurs.
Printemps avec sa grâce fière et forte,
A terrassé l'hiver et les vents en courroux

C'est lui dont le fruit ouvrit cette porte
Et renversa les obstacles jaloux
Ô songe pour nous !
À notre flamme
Il allume sa flamme,
L'amour évoque le printemps,

Longtemps caché dans le fond de notre âme,
Il rit dans les cieux éclatants !
Notre amour triomphant lui donna confiance,
Vainqueur de l'ombre il triomphe à son tour,
Et désormais une étroite alliance
Unit le printemps à l'amour.

Version française de Victor Wilder.
-----

Winterstürme wichen
dem Wonnemond, –
in mildem Lichte
leuchtet der Lenz; –
auf linden Lüften
leicht und lieblich,
Wunder webend
er sich wiegt.
Durch Wald und Auen
weht sein Atem,
weit geöffnet
lacht sein Aug: –
aus sel'ger Vöglein Sange
süß er tönt, –
holde Düfte
haucht er aus;
seinem warmen Blut entblühen
wonnige Blumen,
Keim und Sproß
entspringt seiner Kraft!
Mit zarter Waffen Zier
bezwingt er die Welt; –
Winter und Sturm wichen
der starken Wehr: –
wohl mußte den tapfern Streichen
die strenge Türe auch weichen,
die trotzig und starr
uns – trennte von ihm!
Zu seiner Schwester
schwang er sich her;
die Liebe lockte den Lenz:
in uns'rem Busen
barg sie sich tief;
nun lacht sie selig dem Licht.
Die bräutliche Schwester
befreite der Bruder;
zertrümmert liegt
was je sie getrennt:
jauchzend grüßt sich
das junge Paar,
vereint sind Liebe und Lenz!


-----
Le même par René Verdière :
http://www.youtube.com/watch?v=_oncXEB2qD0


Aucun autre transfert audio du même document, aucune face associée

Permalien : http://www.phonobase.org/8272.html

  Recherche tout champRecherche avancéeNouvelle recherche Page d'accueil