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Title : | L'âme des violons |
Composers and/or lyricists : | de Buxeuil, René [Jean-Baptiste Chevrier] ; Lawrence, Dick ; Febvre, Ph. |
Performers : | Junka |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Double-side number : | 2962 |
Catalogue number : | 1171 |
Matrix number : | 94277-RA |
Additional informations written on medium : | 13-8-13 |
Recording date : | 1913-05-xx |
Instruments : | orchestre acc. |
Condition : | Exc+ |
Speed (rpm) : | 89,2 |
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2012-12-04 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Tavernes, boîtes de nuit, Pigalle, cousettes, Ninon, |
Text or lyrics : | L'âme des violons
Création : Junka (1913 à l'Eldorado) - reprises : Damia, Suzanne Valroger, Serge Hamel, Emma Miebel, Tamagni, Yvonne Sérard, Suzanne Ellen, Jack Dif, Bressy, G. Bussy, D'Arrens, Millize Cellizo, Valdonne, Mad Rainvyl, Jane Billon, Lise Berty, Harmant, Jovatti, Raymonde Dedax, Vorellin Les Duperrey de Chantloup, Charlotte Valdor et Watson, Malloire,... Paroles : Ph. Febvre - Musique : Dick Lawrence, René de Buxeuil - Éditeur : Henri Delormel - Paris (1913) Il est minuit, Montmartre s'illumine Tous les concerts se vident à grand bruit Et des viveurs la fête se termine Dans la taverne ou la boîte de nuit Parmi les fleurs, les femmes, la fumée En bas de soie, habit rouge et col noir C’est le Tzigane à la valse pâmée Qui va charmer jusqu’au passant du soir {Refrain :} Écoutez l’âme des violons Chansons d’amour, chansons joyeuses Les Muguette et les Ninon Prennent des poses langoureuses Par les notes endiablées Passant dans des rythmes profonds Les femmes sont ensorcelées Quand chante l’âme des violons Dans ce salon, la douce symphonie L'orchestre entier frémit sous les archets Dans un fauteuil, une femme pâlie Essuie un pleur dont ses cils sont perlés Sur son bonheur a passé la tourmente Elle a souffert dans son cœur délaissé Et la chanson que la musique chante Aux soirs joyeux l'a maintes fois bercée {Refrain :} Écoutez l'âme des violons Chansons d'automne et de tristesse Voix plaintive des trahisons Consolant même en sa détresse Maudissant les amants infâmes Ou pleurant sur les abandons C'est peut-être l'âme des femmes Qui pleure en l'âme des violons |
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