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Titre : | Viens Poupoule |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Spahn, Adolf ; Trébitsch, Alexandre ; Christiné, Henri |
Interprète(s) : | Lejal, Victor |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Edison |
Numéro de catalogue : | 17170 |
Date de l'enregistrement : | 1904 |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | Exc+ |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 09-09-2001 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Coll. Marc Béghin. Musique d'après "Kom, Karoline…" |
Texte du contenu : | Viens Poupoule
Création : Mayol (1902 à la Scala) - reprises : Max-Morel, Portal, Nita Darbel (1903), Gabrielle Lange (1903), Maréchal (1903), Nicolas Ambreville (1904), Victor Lejal (1904), Denayran, Grisard (1908), Louis Vérande (1910), André Pièges (1920), Rogers (1950), Aimé Barelli, Priolet, Maurice Chevalier, Philippe Clay, Jean Richard, Serge Clin, Luc Barney, Henri Genès, Andrex, Aimé Doniat, Guy Béart, Charlotte Julian,... Paroles : Alexandre Trébitsch, Henri Christiné - Musique : Adolf Spahn - Éditeur : M. Labbé (1902) la partition : ---------------- Le samedi soir, après l’turbin L’ouvrier parisien Dit à sa femme : Comme dessert J’te paie l’café-concert On va filer bras d’ssus, bras d’ssous Aux galeries à vingt sous Mets vite une robe, faut t’dépêcher Pour être bien placé Car il faut Mon coco Entendre tous les cabots {Refrain :} Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Quand j’entends des chansons Ça m’rend tout polisson Ah ! Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Souviens-toi qu’c’est comme ça Que j’suis dev’nu papa. Un p’tit tableau bien épatant Quand arrive le printemps C’est d’observer l’charivari Des environs d’Paris Dans les guinguettes au bord de l’eau Au son d’un vieux piano On voit danser les p’tits joyeux Criant à qui mieux mieux : Hé le piano ! Tu joues faux ! Ça n’fait rien, mon p’tit coco. {Refrain :} Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Ce soir je t’emmène… où ? À la cabane bambou Hou ! Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Et l’on danse plein d’entrain La « polka des trottins » Avec sa femme un brave agent Un soir rentrait gaiement Quand tout à coup, jugez un peu On entend des coups de feu C’était messieurs les bons apaches Pour s’donner du panache Qui s’envoyaient quelques pruneaux Et jouaient du couteau L’brave agent Indulgent Dit à sa femme tranquillement : {Refrain :} Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Pourquoi les déranger Ça pourrait les fâcher Ah ! Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Ne t’mets pas en émoi Ils s’tueront bien sans moi Deux vieux époux tout tremblotants Marient leurs p’tits-enfants Après le bal, vers les minuit La bonne vieille dit À sa p’tite-fille tombant d’sommeil : J’vais t’donner les conseils Qu’on donne toujours aux jeunes mariés Mais l’grand-père plein d’gaieté Dit doucement : Bonne-maman Laisse donc ces deux enfants {Refrain :} Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Les petits polissons N’ont pas besoin d’leçons Ah ! Viens poupoule, viens poupoule, viens ! J’suis bien certain, ma foi Qu’ils en savent plus que toi Les jeunes mariés très amoureux Viennent de rentrer chez eux Dans leur gentil p’tit entresol Ils s’écrient : Enfin seuls ! Madame se met vite à ranger Sa p’tite fleur d’oranger Pendant qu’monsieur bien tendrement Dit amoureusement Pour tâcher D’s’épancher Montrant la chambre à coucher : {Refrain :} Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Les verrous sont tirés On pourra s’détirer Ah ! Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Viens chanter, mon coco La chanson des bécots Un député tout frais nommé Invitait sa moitié À v’nir entendre un grand discours Qu’il prononçait l’même jour Mais à peine a-t-il commencé Qu’on lui crie : C’est assez Constitution ! Dissolution ! Pas d’interpellation ! Ahuri Abruti Il prend son chapeau et dit : {Refrain :} Viens poupoule, viens poupoule, viens ! Je n’veux pas dev’nir sourd Pour vingt-cinq francs par jour Ah ! Viens poupoule, viens poupoule, viens ! C’est bien assez, ma foi D’être attrapé par toi |
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