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Titre :	Ma femme ne sait pas ça
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Lebreton, Lucien ; de Mirecki, Maurice
Interprète(s) :	Caudieux, Albert
Genre :	Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	Disque
Format :	27 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :	Paris, France
Marque de fabrique, label :	APGA
Numéro de catalogue :	2221
Numéro de matrice :	A440
Date de l'enregistrement :	1909
Instruments :	piano acc.
État :	Montage avec le précédent - Exc : exemplaire bon mais quelques p
Vitesse (tours/minute) :	81
Matériel employé au transfert :	Garrard 401, SME 3012, pointe 78 sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :	03-08-2010
Commentaires :	Texte du contenu ci-dessous. Photos d'un autre exemplaire zl2-IMG_3874.jpg
Texte du contenu :	Ma femme ne sait pas ça Création : Albert Caudieux (1882 au Concert du XIXe siècle) - reprises : Libert (1882 à l'Alcazar d' Hiver), Narbal (1883 à l'Européen), Bannière (1883 à la Pépinière) Paroles : Lucien Lebreton - Musique : Maurice de Mirecki - Éditeur : L. Bathlot, Paris [1882] Je suis un profond scélérat Et passe pour un saint homme Le jour, intègre magistrat Mais, le soir, moins prud’homme J'habite au faubourg Saint-Germain Une sombre demeure Mais je possède chaussée d'Antin Une retraite meilleure {Refrain :} Ma femme ne sait pas ça Et ma belle-mère ne s'en doute guère Traladeridera Tralalala, c'est de bonne guerre Ma femme ne sait pas ça Tralalala tralalala Ma femme ne sait pas ça Traladeridera lonla Nous possédons dans le Poitou Une terre de famille Mais, vrai, ça n'est pas drôle du tout J' m'endors sous la charmille Heureus'ment, pour me rattraper J' ai loué près d’Asnières Un pied-à-terre où j' vais souper Avec des canotières {au Refrain} Chez moi, l'on fait maigre souvent Et l'on jeûne en carême Je trouve ce régime excellent Ça m' donne une faim extrême Mais j' souffle dans un autr' logis En buvant du champagne Quelquefois même, je rentre gris Et battant la campagne {au Refrain} Or, un soir, étant un peu gai Avec Jeanne et Camille Au bal Bullier je m'élançai Dans un joyeux quadrille Mais par malheur mon pantalon S' fend en deux, quelle posture ! On voulait m' conduire au violon Voyez-vous ma figure ! {au Refrain}