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421 résultats trouvés
Titre : | Amoureux sauvetage |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Berniaux, Désiré ; Bénech, Ferdinand-Louis |
Interprète(s) : | Mayol, Félix |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | APGA |
Numéro de catalogue : | 1958 |
Numéro de matrice : | A96 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 79 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, SME-Clément, pointe 1,5ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe US30, passe-bas 6,5kHz : Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 28-11-2017 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Deux suicidaires se rencontrent dans la Seine et tombent amoureux. Suicide, rencontre, amour, grivois |
Texte du contenu : | Amoureux sauvetage
Création : Mayol (1908) - reprises : Fréhel (1908), Paul Lack (1909), Jean Péheu (1909), Paul Dalbret (1909), Charlus Paroles : Ferdinand-Louis Bénech - Musique : Désiré Berniaux - Éditeur : Mayol Version Mayol : C'était un jeune homme très amoureux Mais qui n'était pas heureux Et pour y noyer sa peine Il alla s' fiche dans la Seine Mais voilà qu'au même instant, il vit Une femme qui faisait comme lui Et pour sauver la d'moiselle Il s' mit à nager vers elle Elle lui dit "Monsieur, c'est égal Excusez-moi d' vous donner tant d' mal !" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle Qui le saisit par le cou Ils allaient s' noyer sur place L' jeune homme dit en s'enfonçant "Pour une fois qu'une femme m'enlace J'ai pas d' veine, assurément !" Heureus'ment pour eux qu'il arriva Un bateau qui les sauva Aussitôt, on déshabille Le jeune homme et la jeune fille Ils étaient tous deux complèt'ment nus Comme deux petits Jésus Et quand enfin la d'moiselle Finit par r'venir à elle En s' voyant comme ça, elle lui dit "Excusez-moi de m' montrer ainsi" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle En rougissant malgré tout Car, la voyant si jolie Avec ses grands yeux si doux, L' jeune homme n'avait plus envie Maint'nant de mourir du tout Il lui dit "D'abord, faut qu' vous m' juriez De ne pas recommencer !" Prenant le bras de la belle Il la ramena chez elle Et comme il venait la voir chaque jour N'osant lui parler d'amour Ce fut la jeune fille elle-même Qui lui dit tout bas "J' vous aime" Puis elle ajouta "C'est égal Monsieur, vous allez m' juger bien mal !" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle En l'embrassant comme un fou V'là comment dans leur déveine La d'moiselle et son sauveur S'étant jetés dans la Seine Nagèrent enfin dans l' bonheur ! ------------- Version Jean Péheu : C'était un jeune homme très amoureux Mais qui n'était pas heureux Et pour y noyer sa peine Il alla s' fiche à la Seine Mais voilà qu'au même instant, il vit Une femme qui faisait comme lui Et pour sauver la d'moiselle Il s' mit à nager vers elle Elle lui dit "Monsieur, c'est égal Excusez-moi d' vous donner tant d' mal !" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle Qui le saisit par le cou Ils allaient s' noyer sur place L' jeune homme dit en s'enfonçant "Pour une fois qu'une femme m'enlace J' n'ai pas d' chance assurément" Heureus'ment pour eux qu'il arriva Un bateau qui les sauva Aussitôt, on déshabille Le jeune homme et la jeune fille Ils étaient tous deux complèt'ment nus Comme deux petits Jésus Quand enfin la demoiselle Finit par rev'nir à elle En s' voyant comme ça, elle lui dit "Excusez-moi d' me montrer ainsi" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle En rougissant malgré tout Car, la voyant si jolie Avec ses grands yeux si doux, L' jeune homme n'avait plus envie Maintenant d' mourir du tout Il lui dit "D'abord, faut qu' vous m' juriez De ne pas recommencer !" Prenant le bras de la belle Il la ramena chez elle Mais comme il venait la voir chaque jour Et n'osait parler d'amour Ce fut la jeune fille elle-même Qui lui dit un soir "J' vous aime" Puis elle ajouta "C'est égal Monsieur, vous allez m' juger bien mal !" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle En l'embrassant comme un fou V'là comment dans leur déveine La d'moiselle et son sauveur S'étant jetés dans la Seine Nagèrent enfin dans l' bonheur ! |
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