Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil  

   
Titre :
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :
Interprète(s) :
Genre :
Année d'enregistrement :
Instruments :
Marque de fabrique, label :
Format :
   
Retour au document associé

2 autres transferts audio du même disque et/ou faces associées trouvés

1 2 Suite droite

 
Titre :Cousine
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Valsien, Albert [Albert Valensi] ; Boyer, Lucien
Interprète(s) :Mayol, Félix
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :25 cm aiguille (enregistrement électrique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Parlophone
Numéro de double-face :22923
Numéro de catalogue :A138705
Inscriptions complémentaires :Chatou M3-56892
Date de l'enregistrement :1932
État :abon
Vitesse (tours/minute) :78
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :10-06-2010
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Cousine

On trouvera ci-dessous les textes des versions chantées par :
- Paul Lack
- Mayol (disque Parlophone)
- Charlus

Paul Lack :

Autrefois, ma cousine Hortense
Arrivait de temps en temps
Chez mes parents
Elle venait passer ses vacances
Dans notre petite maison
Près de Toulon
C'était dans le programme
Quand nous recevions le télégramme
Le bonheur dans l'âme
À la gare je courais comme un fou
Mais l' train arrivait tout à coup
En la voyant, je criais : Zou !

{Refrain :}
Cousine, cousine
T'es fraîche comme une praline
Cousine, cousine
Coquin' de sort, quelle bonne mine !
{Parlé : Et tu as bien dormi dans le train ?
J'espère que tu avais un coin, hein}
Cousine, cousine
Embrasse ton cousin germain

Chaque matin, courant vers la grève
Afin d' nous baigner tous deux
Dans les flots bleus
On s' déshabillait, quel beau rêve !
Sous l'ombrage hospitalier
Des oliviers
Rouge comme une cerise
Pendant qu'elle cachait sa gorge exquise
J' disais des bêtises
Comme y avait personne pour nous r'garder
J' lui disais : J' vais en profiter
Pitchounette, pour t'embrasser

{Refrain :}

Cousine, cousine
Qu'est-ce que j' vois sur ta poitrine ?
Cousine, cousine
On dirait deux mandarines
{Parlé : Ah ! Tu les as, les mandarines, c'est certain
Mais, peuchère, que tu m'en bouches un coin !}
Cousine, cousine
Pour toi j'ai un vrai pépin

- - -


Mayol – version Parlophone A 138705 -

Autrefois, ma cousine Hortense
Arrivait de temps en temps
Chez mes parents ;
Elle venait passer ses vacances
Dans notre petite maison
Près de Toulon.
C'était dans le programme,
Quand nous recevions le télégramme,
Le bonheur dans l'âme
À la gare, je courais comme un fou
Mais le train arrivait tout à coup
En la voyant je criais : Zou !

Cousine, cousine,
T'es fraîche comme une sar... praline !
Cousine, cousine,
Coquin de sort, quelle bonne mine !
{Parlé : Tu as bien dormi dans le train ?
J'espère que tu avais un coin, au moins}
Cousine, cousine,
Embrasse ton cousin germain ! Viens !

Chaque matin, courant vers la grève,
Afin d'nous baigner tous deux
Dans les flots bleus,
On s'déshabillait - quel beau rêve ! -
Sous l'ombrage hospitalier
Des oliviers.
Rouge comme une cerise,
Afin de m'cacher sa gorge exquise,
Elle ram'nait sa ch'mise,
Mais comme y avait d' la dentelle partout
Souvent, je voyais par un trou
Un sein qui montrait son p'tit bout.

{Parlé : Hein, qu'est-c' que c'est ?}

Cousine, cousine,
Qu'est-c'que j'vois sur ta poitrine ?
Cousine, cousine,
On dirait deux mandarines
{Parlé : Tu as les mandarines, c'est certain,
Mais peuchère, ce qui m'en bouche un coin,}
Cousine, cousine,
C'est qu'c'est moi que j'ai le pépin ! Vaï !


Mais elle m'écrivit l'autre année :
Cher cousin, je n' viendrai pas,
Tu m'excus'ras,
D'puis huit jours, je suis mariée
Et pour plaire à mon mari
J'reste à Paris.
La méchante lettre,
Quel chagrin en moi elle fit naître !
Du fond de mon être
Monta comme un frisson de rancœur ;
J'interrogeai dans ma douleur
Les arbres, la grève, les fleurs.

Cousine, cousine
Si gentille, si câline,
Cousine, cousine,
C'est mon cœur qu'elle piétine,
{Parlé : On devait se marier au printemps,
Et moi je suis là, tè ! j'attends}
Cousine, cousine,
L'amour, c'est des boniments ! Vlan !

- - -

Charlus :

Autrefois, ma cousine Hortense
Arrivait de temps en temps
Chez mes parents ;
Elle venait passer ses vacances
Dans notre petit' maison
Près de Toulon.
C'était dans l'programme,
Quand nous recevions le télégramme,
Le bonheur dans l'âme
À la gare je courais comme un fou
Mais l'train arrivait tout à coup.
En la voyant je criais : Zou !

Cousine, cousine,
T'es fraîche comme une praline,
Cousine, cousine,
Coquin de sort, quelle bonne mine !
{Parlé : Et tu as bien dormi dans le train ?
J'espère que tu avais un coin, hein !}
Cousine, cousine,
Embrasse ton cousin germain !

{Parlé : Plus fraîche que la rose !}

Chaque matin, courant vers la grève,
Afin d'nous baigner tous deux
Dans les flots bleus,
On s'déshabillait - quel beau rêve ! -
Sous l'ombrage hospitalier
Des oliviers.
Rouge comme une cerise,
Afin d' me cacher sa gorge exquise,
Elle ram'nait sa ch'mise,
Mais comme y avait d' la dentelle partout
Souvent, je voyais par un trou
Un sein qui montrait son p'tit bout.

Cousine, cousine,
Qu'est-c'que j'vois sur ta poitrine ?
Cousine, cousine,
On dirait deux mandarines
{Parlé : Tu as les mandarines, c'est certain,
Mais peuchère, ce qui m'en bouche un coin,}
Cousine, cousine,
C'est qu'c'est moi qu'ai le pépin ! Hé !

{Parlé : Hé, j'en ai un gros de pépin, va !}

Mais elle m'écrivit l'autre année :
Cher cousin, je n' viendrai pas,
Tu m'excus'ras,
Depuis huit jours, je suis mariée
Et pour plaire à mon mari
J'reste à Paris.
La méchante lettre,
En moi quel chagrin elle fit naître !
Du fond de mon être
Monta comme un frisson de rancœur ;
J'interrogeais dans ma douleur
Les arbres, la grève, les fleurs.

Cousine, cousine
Si gentille, si câline,
Cousine, cousine,
C'est mon cœur que tu piétines,
{Parlé : On devait s'unir au printemps,
Et moi je suis là, tè ! j'attends}
Cousine, cousine,
L'amour, c'est des boniments ! Ho la la !




Permalien : http://www.phonobase.org/5958.html

  Recherche avancéeRecherche tout champNouvelle recherche Page d'accueil