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Titre :	La chercheuse de clair de lune, tyrolienne rêverie
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Lisbonne, Théodore ; Crémieux, Hector
Interprète(s) :	Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s)
Genre :	Café-concert : tyrolienne
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	cylindre
Format :	Lioret n°3 (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :	Paris, France
Marque de fabrique, label :	Lioret
Date de l'enregistrement :	1895-1900
Instruments :	Tyrolienne
Vitesse (tours/minute) :	104
Matériel employé au transfert :	Archéophone, pointe 78 sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat
Date du transfert :	15-03-2021
Commentaires :	Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos la thèse d'Henri Chamoux La diffusion de l’enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Hauteur celluloid 43mm. L'annonce dit : "La chercheuse de clair de lune, créée par [Gustave] Chaillier à l'Eldorado"
Texte du contenu :	La chercheuse de clair de lune Création : Gustave Chaillier (1869 à l'Eldorado) - reprises : Mlle Stella, Bruet, Lachapelle, Mercadier, Mlle Juana, Mlle Hantz, Mlle Isabelle Luigi, Max Henriot, Grisard, Mme Rollini, Léonce Bergeret, Andréany Paroles : Hector Crémieux - Musique : Théodore Lisbonne - Éditeur : L. Bathlot / Joubert J'ai connu, quand j'étais jeune homme [Mme Rollini : J'ai connu, quand j'étais baronne] Une pâle fille à l’œil noir Qui s'en allait comme un fantôme Seule, errer dans les bois le soir De toute tendresse et fortune Son cœur se moquait bien des fois La chercheuse de clair de lune N'aimait que la lune et les bois La chercheuse de clair de lune N'aimait que la lune et les bois Trou la la laïtou laïtou… La chercheuse de clair de lune Les yeux toujours levés au ciel Sous une allée ombreuse et brune Commit certain péché véniel Elle perdit ce que chacune Ne perd ici-bas qu'une fois Elle était encor dans la lune Que l'amour avait pris son bras Elle était encor dans la lune Que l'amour avait pris son bras Trou la la laïtou laïtou…