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Titre :Les hussards de la garde
Interprète(s) :de Ruy, Rachel
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :27 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :APGA
Numéro de catalogue :1107
Date de l'enregistrement :1906-07
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :83,5
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 3,7ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Decca, passe-bas 4kHz, Cedar X declick
Date du transfert :03-11-2013
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. L’étiquette mentionne «Empire», il s’agit de l’époque approximative à laquelle apparaît cette chanson dont l’auteur reste inconnu.
Texte du contenu :Les hussards de la garde
Les houzards de la garde

Chanson des années 1820 environ - auteur anonyme ou inconnu - Reprises : Augusta, Eugénie Buffet, Yvette Guilbert, Rachel du Ruy, Marie Dubas, Adrienne Gallon, Blanche de Kerville (1897)...

{Refrain:}
Toi qui connais les hussards de la Garde
N' connais-tu pas l' trombone du régiment ?
Quel air aimable quand il vous regarde
Eh bien, ma chère, il était mon amant

Au Luxembourg, je fis sa connaissance
Qu'il était bien dessous son fourniment
Quel air vainqueur, quelle noble prestance
En embouchant son aimable instrument

{au Refrain}

La première fois qu'il me vit en personne
J' crus qu'il allait tomber en pâmoison
Il soupirait plus fort que sa trombone
Moi, de pitié, j'en avais le frisson

{au Refrain}

Tu peux m'en croire, ô ma chère Julie
C'était vraiment un amour de garçon
Pour l'obliger, j'aurais donné ma vie
J'aurais vendu jusqu'au dernier jupon

{au Refrain}

Il est parti, j'attends de ses nouvelles
De Lille en Flandre oùsqu'il tient garnison
Oh, que du moins il me reste fidèle
Ou j' suis dans l' cas de m' détruire au charbon

{au Refrain}



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