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Titre :	Les Jaloux
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Fragson, Harry ; Briollet, Paul ; Lelièvre, Léo
Interprète(s) :	Arnould
Genre :	Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	Disque
Format :	19 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :	Bruxelles, Belgique
Marque de fabrique, label :	Odeon International talking machine Co.m.b.H.
Numéro de catalogue :	166
Numéro de matrice :	166
Date de l'enregistrement :	1903
État :	Exc++
Vitesse (tours/minute) :	90,2
Matériel employé au transfert :	Garrard 401, SME 3012, pointe 3,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :	11-01-2014
Commentaires :	Texte du contenu ci-dessous. Il imite Fragson. Sur l'autre face, la même voix imite Polin
Texte du contenu :	Les jaloux Création : Fragson (1900 à l'Alcazar d’Été) - reprises : Arnould, Maréchal, Marjal Paroles : Paul Briollet, Léo Lelièvre - Musique : Harry Fragson - Éditeur : Aux Répertoires Réunis Fragson sur Gramophone and Typewriter : {Refrain:} Plaignons les jaloux Ce sont les plus fous Leurs méchants propos font pleurer Celles que l'on doit adorer Profitant des jours Et des nuits d'ivresse Je crois toujours À ma maîtresse Et n'en suis pas jaloux Ma Marcelle aux yeux si doux [variante Arnould/ Maréchal : Ma Ninette aux yeux si doux] Tu veux me rendre jaloux Tes épreuves En font preuve Tu dis que pour bien aimer L'amant doit toujours veiller En amour, crois-moi, ma chère [variante : En amour, crois bien, ma chère] Pour moi c'est le contraire Voilà pourquoi J'ai confiance en toi {au Refrain} Ce matin à ton corset Je fis un nœud très coquet La rosette Est défaite Sans en chercher la raison Je bénis cette occasion Qui m'avance l'heure exquise [variante : Qui devance l'heure exquise] Où j'étais sans chemise [variante : De te voir en chemise] Voilà pourquoi J'ai confiance en toi {Refrain:} Plaignons les jaloux Ce sont les plus fous Leurs méchants propos font pleurer Celles que l'on doit adorer Profitant des jours Et des nuits d'ivresse Je crois toujours À ma maîtresse Et n'en suis plus jaloux