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47 résultats trouvés
Titre : | La Marche des cambrioleurs |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Berger, Rodolphe ; Daris, Jean |
Interprète(s) : | Maréchal, André |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 1668 |
Instruments : | orchestre |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | abon, saute, montage |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton, Elberg MD12 : courbe US30, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 12-02-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | La marche des cambrioleurs
Dans le bon vieux temps Quand nos grands-parents Arrêtaient les diligences C'étaient des brigands Pas très élégants Maintenant nous sommes plus Régence Toujours très bien mis Gants blancs et habits Monocle, souliers vernis On vous fait sauter Les verrous d'sûreté En vrai gentleman On fait son p'tit déménagement [Dans le bon vieux temps Nos aïeux souvent Arrêtaient les diligences Oui, mais à présent Quel perfectionnement, On est devenus plus Régence Le triomphateur C'est l'cambrioleur Avec sa pince monseigneur Qui vous fait sauter Les verrous d'sûreté Et qui tranquillement Sans l'moindre boucan Fait son p'tit déménagement] Refrain : Nous n'sommes pas des voleurs, Vraiment c'est trop bête, bête, Nous sommes cambrioleurs, ça c'est bien plus chouette, chouette, C'est nous qui fracturons Et qui dévalisons, Les p'tites maisons, Chaque saison, Et quand on est amateur, Vraiment c'est bien de l'honneur, [Ma foi c'est beaucoup d'honneur] D'avoir pour visiteur Des bons cambrioleurs. On arrive la nuit, Sur le coup d' minuit, Dans une maison solitaire. On flanque au portier, En train d' roupiller, Des marrons sur la caf'tière. Le bourgeois traqueur, Devient vert de peur Et vous offre ses liqueurs. On prend son argent, Et même ses fausses dents, Ses antiquités, Son vin frelaté, Et sa montre par dessus le marché. Au refrain Celui qu'est malin S'habille en gandin Et fait de l'oeil aux duchesses Qui dans les wagons Près d'elles sans façons Posent des sacs pleins de richesses Un copain vivement Dans l'compartiment Derrière se glisse adroitement Puis en deux temps, crac ! Il barbotte le sac Pendant qu'devant l'train La dame est en train De se dire : J'ai fait un baguin. Au printemps dernier [En juillet dernier] Je venais d'pénétrer Chez une douairière peu bégueule, Mais quelle déception Rien dans la maison ! Je trouve la vieille toute seule. Alors elle me dit : - Monsieur le bandit, Vous devez être déconfit, Car pout tout revenu Je n'ai qu'ma vertu, J'vais vous la donner Je réponds sans tarder - Merci j'veux pas vous en priver ! Au refrain Les jeunes débutants Pas assez prudents S'en vont passer leurs vacances Dans de bonnes prisons Pleines de distractions Où l'on fait de chic connaissances. Des banquiers sauteurs, Des gens dans l'malheur, Députés ou sénateurs Ce qui fait qu'comme ça, Quand on sort de là On a du piston Et d'belles relations On n'craint plus les arrestations. Au refrain |
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